Sivous modifiez une méthode ou technique standard ou connue, nommez-la, donnez la référence bibliographique source et décrivez la modification. Pour une méthode nouvelle , ou peu connue, ou jamais ou peu utilisée dans la discipline :
Cours 1 introduction Le sens et l’esprit du cours de Cartographie des Controverses Vous entrez en formation ingĂ©nieur. A travers des stages effectuĂ©s en entreprise et des projets rĂ©alisĂ©s dans le cadre de votre cursus Ă  ESIEE Paris, vous allez commencer Ă  contribuer Ă  la production d’innovations, passant de spectateurs » Ă  acteurs ». Les bureaux d’études des entreprises ou des laboratoires chercheront Ă  vous recruter pour vos qualitĂ©s scientifiques et techniques et vous serez au cƓur de la crĂ©ation de dispositifs techniques passionnants. Vous serez alors tĂ©moins de combien rĂ©ussir techniquement » une innovation technique est difficile ! Eric Achkar, ingĂ©nieur ESIEE 97 travaillant au centre R&D de Nokia sur la tĂ©lĂ©phonie 3G, savait en avril 2000 que les 3000 ingĂ©nieurs auraient du mal Ă  tenir les dĂ©lais annoncĂ©s – 2003. Aujourd’hui, la partie technique de la 3G a Ă©tĂ© domptĂ©e », la 4G marche, quid de la 5G ? Et Ă  quand les vĂ©hicules complĂštement autonomes ? L’antidiabĂ©tique MEDIATOR provoque-t-il la valvulopathie et cause-t-il des morts ? Faut-il suivre les experts qui interdisent la pĂȘche au thon rouge ? Faut-il des pĂ©ages Ă  l’entrĂ©e des villes ? Les Ă©oliennes – solution miracle ou solution arnaque ? L’optique controverse nous apprend Ă  regarder toute progression scientifique ou technique non pas comme le chemin le plus court Ă  parcourir entre 2 points tel un voyage de A Ă  B sur une autoroute passant Ă  travers une forĂȘt, mais comme une marche Ă  pied Ă  travers la mĂȘme forĂȘt dans son Ă©tat primitif. Aurons-nous assez de provisions ? Saurons-nous nous protĂ©ger contre les intempĂ©ries ? Les animaux sauvages ? Les brigands ? Garderons-nous la bonne direction ? Dans ce cours vous allez sĂ©lectionner, dĂ©crire, analyser et prĂ©senter une controverse scientifique ou technique qui se dĂ©roule en ce moment. Depuis 1999, vous avez dĂ©tectĂ© et dĂ©crit plein de controverses connues du grand public aujourd’hui antennes relais, aspartame, bisphĂ©nol A, biocarburants 1Ăšre gĂ©nĂ©ration, machines Ă  voter, matiĂšre noire, moteur Pantone ». A vous de jouer ! RĂŽles des membres d'un groupe Les trois grands types de controverses En fonction des sujets controversĂ©s que vous allez identifier, diffĂ©rents types d’acteurs, diffĂ©rents types de sources d’informations, sont mobilisĂ©s. Dans ce cours, nous distinguons trois grands types de controverses. Controverses Ă  dominante technique / innovation Ceux qui inventent sont souvent plus audacieux que ceux qui Ă©tudient ceux qui inventent Ă©conomistes
. Regardez les controverses technologiques c’est souvent regarder le monde tel qu’il est et pas le monde tel qu’il est en train de se faire. Ce n’est pas souvent la technique en elle mĂȘme qui fait controverse, mais la mise en Ɠuvre dans la sociĂ©tĂ© de cette technique Bruno Lartour, Cogitamus, 2010, exemples La controverse sur les gaz de schistes ce n’est pas la fracturation hydraulique qui a lancĂ© la controverse, mais la politique favorable Ă  l’exploration des gaz de schiste lancĂ© au dĂ©but autour des annĂ©es 2010/2011; La rĂ©alitĂ© virtuelle comporte-t-elle un risque dĂ©socialisation, trouble de l’attention
 ou est-elle un formidable outil mĂ©decine, des jeux toujours plus immersifs ? Y’a-t-il des applications concrĂštes pour l’écran flexible que Sony vient de lancer ? Est-il envisageable d’utiliser des dirigeables pour le transport aĂ©rien ? Les biopesticides sont-ils viables ? Et Ă  quand les vĂ©hicules complĂštement autonomes sur nos routes ? Controverses scientifiques / de type recherche Elle doit ĂȘtre prise dans le domaine de la recherche scientifique pure ». Cela sera donc une controverse assez cachĂ©e du public, et qui concerne et passionne surtout la communautĂ© scientifique. La contestation d’un paradigme dominant, l’affrontement dans la communautĂ© scientifique de deux hypothĂšses pour expliquer un phĂ©nomĂšne ! Cela peut concerner la physique, la chimie, les sciences de la terre les sciences de l’univers, les sciences du vivant, l’archĂ©ologie, la palĂ©ontologie, etc. Exemples L’eau a-t-elle une mĂ©moire ? » vs HomĂ©opathie Lhomme est-il la cause du rĂ©chauffement climatique ? » Peut-on provoquer des rĂ©actions de fusion nuclĂ©aire Ă  tempĂ©rature ambiante froide ? » Les sources d’information sont des articles scientifiques, des livres, des sites d’experts ou de scientifiques, ou encore des articles de presse de vulgarisation scientifique. Controverses sociales / grand public Ici la science ou la technique touche notre bien public. Les types d’acteurs sont des associations de consommateurs, des citoyens qui se regroupent pour dĂ©fendre un point de vue, des militants qui s’organisent pour porter une vision diffĂ©rente du monde
 A la diffĂ©rence des deux autres types de controverses, les sources d’information sont ici plus larges, plus variĂ©es de la presse nationale jusqu’à la gazette musicale; d’un site web institutionnel ou blog d’un particulier qui a creusĂ© une question; on parle aussi de fake news pour raconter comment sur un sujet sensible on essaie d’influencer les opinions par les rĂ©seaux sociaux notamment. Exemples Fallait-il interdire la pĂȘche aux anchois ou du thon rouge ? Faut-il installer des Ă©oliennes au TrĂ©port ? Que faire des dĂ©chets radioactifs ? Fallait-il autoriser ou retirer tel type mĂ©dicament sur le marchĂ© ? Le BisphĂ©nol A doit-il est retirĂ© ? Cours 2 acteurs et arguments Pas de controverse sans dĂ©bat
 
 ni acteurs avec des arguments pour alimenter le dĂ©bat ! Lors de la prĂ©sentation qui clĂŽturera ce cours, votre oral commencera par la question En quoi votre sujet est-il une controverse ? ». C’est pourquoi, il faut que vous gardiez bien Ă  l’esprit que vous devez identifier une controverse et non pas un simple sujet. Il faut donc qu’il y ait un dĂ©bat, un affrontement
 Dans une controverse, des acteurs, souvent rĂ©unis en groupes d’acteurs associations, ONG, secteurs industriels
, s’affrontent sur un sujet vis-Ă -vis duquel ils ne se mettent pas d’accord entre les groupes d’acteurs, certains arguments s’affrontent et d’autres s’associent ou sont partagĂ©s par exemple, lorsque les intĂ©rĂȘts de deux groupes d’acteurs convergent. Il existe de nombreuses façons de regarder les acteurs, leurs arguments et l’intensitĂ© de leurs actions dans une controverse. Ça sera Ă  vous de construire la vĂŽtre. Mais voici deux exemples sur lesquels vous allez travailler durant cette sĂ©ance Tutorat controverse 01 DĂ©couverte de trois controverses scientifique, innovation et grand public Pour cette premiĂšre sĂ©ance avec votre tuteur, vous serez en petits groupes avec entre 10 et 15 Ă©tudiants par salle. C’est votre tuteur qui vous accompagnera Ă  partir de maintenant dans l’analyse de votre controverse. Il sera donc votre rĂ©fĂ©rent sur ce point durant la durĂ©e du cours. Durant la sĂ©ance, vous avez 15 Ă  20 minutes environ pour prĂ©senter trois controverses, une par type Recherche, Innovation, Grand Public, choisies Ă  partir des six controverses de la sĂ©ance prĂ©cĂ©dente ou en choisir des nouvelles retrouvez une liste de proposition sur la page Sujets du moment. A la suite de cette prĂ©sentation, votre tuteur vous posera des questions et vous fera peut-ĂȘtre des commentaires ! Aussi prĂ©parez un beau support PowerPoint, avec les trois sujets de controverses possibles une controverse orientĂ©e recherche – les enjeux sont surtout entre scientifiques qui ne sont pas d’accord entre eux et concernent assez peu le grand public exemples la 9Ăšme planĂšte » ou l’origine de l’eau » etc.; une controverse innovation – les enjeux sont surtout industriels et commerciales et concernent des grandes entreprises plutĂŽt conservateurs, des startups plutĂŽt innovants, parfois les chercheurs aussi et le grand public et surtout les technophiles exemples les voitures Ă  hydrogĂšne ou Ă©lectrique » etc.; une controverse grand public – les enjeux sont de type santĂ©, sĂ©curitĂ©, qualitĂ© de vie eau, air, bruit etc. exemples amalgames dentaires » ou neutralitĂ© du net » etc.. Nous attendons pour chaque exemple le titre en quoi c’est une controverse ? le contexte dans lequel cette controverse se situe ce qui est en jeu dans cette controverse et en quoi elle vous semble intĂ©ressant ? les dates clĂ©s Ă©vĂšnements marquants de façon aussi exhaustive que possible les acteurs qui sont impliquĂ©s. Citez leurs noms et/ou institutions si possible, de quel type d’acteur s’agit-il ? Sur quoi portent les dĂ©saccords
 quels sont les arguments utilisĂ©s. les sources qui vous ont permis d’identifier cette controverse aussi prĂ©cis que possible = pas un journal », mais Le Figaro, janvier 2020, page 10 A faire Pour la fin de la sĂ©ance ou un peu aprĂšs Livrable du Step3 Newsletter des trois controverses sĂ©lectionnĂ©es Objectif Dossier de controverse SĂ©ances de Tutorat controverse 2, 3, 4
 Pour la sĂ©ance de tutorat controverse 02, il faut que vous ayez choisi, en groupe, un sujet de controverse soit parmi les trois sujets dĂ©jĂ  proposĂ©s, soit un nouveau sujet Ă  discuter avec votre tuteur. Vous pouvez vous aider des Sujets du moment. Vous disposez maintenant de trois sĂ©ances de tutorat sur cette controverse pour finaliser le Step 4 Dossier de controverse. Le dossier de controverse doit ĂȘtre rendu Ă  votre tuteur de TP Ă  la fin de la sĂ©ance de tutorat 04, et porte un coefficient de 10% de la note finale. C’est un travail qui a une grande valeur ajoutĂ©e, Ă  partir duquel se feront vos affiches, sites web et livret. Les trois livrables du cours Contrairement au Step1 CommuniquĂ© de Presse ou au Step2 Dossier de Presse, le Step 4 Dossier Controverse est un travail d’approfondissement qui fait une vingtaine de pages. Il constitue donc le cƓur de votre analyse ! Commencez par lire le descriptif du dossier ci-dessous. Si quelque chose n’est pas clair, posez des questions Ă  votre tuteur. Le dossier est en onze sections D1 Ă  D11. D1. Titre et rĂ©sumĂ© de la controverse et de ses enjeux 1 page A vous de trouver le titre qui sera en grand sur votre affiche. Ça peut ĂȘtre au premier, deuxiĂšme ou troisiĂšme degrĂ© ! Dans le jury lors de la prĂ©sentation finale de votre controverse, la premiĂšre question va certainement ĂȘtre 
 »expliquez-nous en quoi votre sujet est une controverse
 ? ». Si vous ne rĂ©pondez pas clairement Ă  cette question vous ĂȘtes mal parti ! Il faut donc savoir y rĂ©pondre tout de suite en quelques mots
 
notre controverse est Faudrait-il installer un parc d’éoliennes offshore au Havre ? C’est une controverse parce que il y a dĂ©saccord entre pas mal d’acteurs sur les avantages et inconvĂ©nients d’une telle installations. Des entreprises pensent en profiter ; d’autres entreprises disent que c’est une source d’énergie dĂ©risoire, etc.
 ; les partis politiques sont aussi d’accord pour le faire ; certains habitants sont contre pour des raisons esthĂ©tiques ; des pĂ©cheurs pensent qu’ils risquent d’ĂȘtre trĂšs affectĂ© ; une association s’est créée pour lutter contre le projet
etc., etc. D2. DĂ©tails sur les acteurs, leur nature et leurs interactions 4 Ă  10 pages Pour la liste des acteurs ainsi que les interactions entre les acteurs de la controverse il faut vraiment du dĂ©tail !! Des noms des personnes, des Ă©quipes, des entreprises, des instituts, des laboratoires, des agences, des ministĂšres, des associations, etc. Quels types d’acteurs ? Chercheurs, entreprises, agences, grand public, consommateurs, malades, etc. Leur rĂŽle dans la controverse passif, actif, engagĂ©, critique, pĂ©riphĂ©rique, etc. Quelle est leur position dans la controverse pour ? contre ? hĂ©sitant ? Quelle est leur degrĂ© d’engagement faible ? fort ? Quel poids ont-ils ? Est-ce qu’il y a des liens entre certains acteurs ? Il vous est demandĂ© de faire une mini base de donnĂ©es sous forme de tableau Excel qui contient toutes ces informations sur les acteurs Soyez exhaustif au dĂ©but de votre recherche. Plus tard vous affinerez. Cette liste des acteurs est bien sĂ»r liĂ©e avec le D6 les arguments des acteurs D4. Chronologie de la controverse tableau plusieurs pages Nous attendons une liste, ou un tableau, assez dĂ©taillĂ©e des dates clĂ©s de la controverse depuis son origine. Des Ă©vĂ©nements marquants. Soyez exhaustif au dĂ©but. Par la suite vous pouvez Ă©laguer. Vous mettrez ça sous forme de frise chronologique sur votre affiche D5. Terminologie et donnĂ©es plusieurs pages Des dĂ©finitions des termes clĂ©s, du jargon, des concepts scientifiques ou techniques que vos lecteurs devront comprendre pour savoir de quoi il s’agit. Des schĂ©mas ou des illustrations qui pourront faciliter la comprĂ©hension du sujet. Mais aussi n’oubliez pas votre culture ingĂ©nieur !! Soyez empiriques trouvez des chiffres qui Ă©clairent les enjeux de la controverse, les sommes d’argent, nombre de personnes, taille de marchĂ©, pourcentages de personnes affectĂ©s clients, habitants, malades, consommateurs, etc. Aussi trouvez ou crĂ©ez des graphes, des statistiques, des tendances, etc. qui Ă©clairent les enjeux. D6. Arguments et preuves que les acteurs utilisent plusieurs pages RepĂ©rez et listez les arguments et les preuves que les acteurs utilisent plusieurs pages. C’est le cƓur de votre travail d’analyse de la controverse ! Les arguments et les preuves que les acteurs avancent pour soutenir leurs positions. Avant de les analyser il faut les trouver ! Faites des collections de verbatims » – des vraies citations. Par exemple global warming is a multibillion-dollar worldwide industry, created by fanatically anti-industrial environmentalists.’ Martin Durkin, rĂ©alisateur du documentaire The Great Global Warming Swindle Nous attendons que vous rĂ©pertoriiez et classifiez les diffĂ©rents types d’arguments dans la controverse
 Par exemple dans la controverse des Ă©oliennes offshore on trouve toute sorte d’argument esthĂ©tiques – ça gĂąche notre vue ; Ă©conomiques – ça va amener de l’électricitĂ© verte dans notre ville ; Ă©conomiques – la quantitĂ© d’électricitĂ© est dĂ©risoire au vu de nos 3 centrales nuclĂ©aires ; Ă©conomiques – la pĂȘche va diminuer de 70% ; Ă©conomiques – la pĂȘche va diminuer de 10% ; Ă©cologiques – ça va perturber l’écosystĂšme et la biodiversitĂ© ; etc. Cette partie est en lien avec D2 acteurs et avec D7 points de friction D7. Points de friction, points de discorde plusieurs pages Nous nous attendons Ă  ce que vous identifiiez tous les points sur lesquels les acteurs ne sont pas d’accord ! Quels sont les arguments qui les opposent ? Sur quels Ă©lĂ©ments portent la discorde Travail d’analyse important ? Questions de fond ? DĂ©tails de chiffrage ? Faits mesurables ? Est-ce qu’il y a des influences subjectives qui expliquent ces divergences par exemple des valeurs ou des idĂ©ologies ? Est-ce qu’il y a des influences cachĂ©s ou invisibles qui influencent les acteurs dans un sens ou dans un autre ? Par exemple une Ă©tude Ă©pidĂ©miologique d’un chercheur financĂ©e par un laboratoire pharmaceutique ? D8. Sources d’information plusieurs pages Constituez une liste de toutes les sources importantes d’information qui vous ont permis de rĂ©digez D1 Ă  D7. Soyez le plus exhaustif possible en listant Sites web, blogs, mĂ©dias sociaux, vidĂ©o, articles de presse, etc. D9. Contacts avec les acteurs 1 page Ça c’est un bonus ! Mais qui est aussi un vrai plus Ă  votre analyse. Si vous arrivez Ă  rentrer en contact par mail, Skype, tĂ©lĂ©phone avec des vrais acteurs de la controverse, Par exemple en effectuant une interview c’est excellent. Plein d’étudiants l’ont dĂ©jĂ  fait ! A faire Pour le tutorat de controverse 2 D1. Titre et rĂ©sumĂ© de la controverse et D2. Acteurs et interactions. Pour le tutorat de controverse 3 D3. Cartographie de la controverse, puis approfondissez de maniĂšre systĂ©matique D4 Ă  D7. Pensez Ă  bien lister vos sources pour D8 ! GĂ©rer votre projet Pour les sĂ©ances 1, 2, 3 et 4 de TD, le cours passe en mode management de projet ! PremiĂšre sĂ©ance les phases du projet SĂ©ance 1 le vocabulaire DeuxiĂšme sĂ©ance ambitions du projet et talents SĂ©ance 2 les phases de l’analyse de controverses TroisiĂšme sĂ©ance matrice des risques du projet En fonction des ambitions finales associĂ©es au projet d’analyse de controverse sĂ©ance TD 1, et de la planification effectuĂ©e sĂ©ance TD 2, certains risques peuvent maintenant apparaitre et questionner les rĂ©sultats attendus. Cette sĂ©ance vise donc Ă  identifier ces risques, puis Ă  imaginer des stratĂ©gies pour les Ă©viter au maximum lorsque que cela est souhaitable. Ces risques peuvent aboutir Ă  réévaluer les ambitions associĂ©es aux livrables du cours en approfondir certains ou en laisser de cĂŽtĂ© lorsqu’ils sont trop risquĂ©s. Cartographie des controverses La visualisation de l’information au service de l’analyse de controverses Dans les exemples du cours, deux types de cartographies de controverses sont le plus souvent utilisĂ©s la cartographie des acteurs et la cartographie des arguments de la controverse. Vous devez construire votre cartographie D3 du Dossier de controverse en fonction des Ă©lĂ©ments que vous voulez mettre en avant dans votre analyse. La cartographie de la controverse offre Une prĂ©sentation synthĂ©tique de diffĂ©rentes dimensions de la controverse, les positions des acteurs, des discours, des opinions, permet au lecteur de votre analyse citoyen, politique, Ă©tudiant
 d’obtenir rapidement des informations sur les Ă©lĂ©ments de la controverses, pour comprendre les relations qui associent ces Ă©lĂ©ments. Exemple de cartographie sur l’Open Data Parmi des centaines d’autres ou plus, un bon exemple de ce que peut apporter une cartographie dans une analyse de controverse, est la cartographie rĂ©alisĂ©e Ă  propos des dĂ©bats autour de l’Open Data en 2013 Telecom Paris, 2013. Dans cet exemple, les arguments dĂ©bats et les acteurs portant ces arguments sont associĂ©s dans deux cartographies qui se superposent. Aussi, en mettant en regard l’une et l’autre, le lecteur est capable de savoir quelles sont positions des acteurs et quels sont les arguments que portent ces acteurs et, donc, d’en dĂ©duire ceux qui ont des positions plutĂŽt similaires. Pour aller plus loin, deux Sites Web avec des cartographies diffĂ©rentes L’open Data », Telecom Paris, 2013 archive de Web Back Machine ĂȘtre patient Ă  l’ouverture; La neutralitĂ© du Net », Telecom Paris, 2013 archive de Web Back Machine ĂȘtre patient Ă  l’ouverture; Et bien sĂ»r l’archive des affiches du cours ESIEE paris. PrĂ©cision du sujet de la controverse et l’échelle d’analyse L’identification prĂ©cise de ce qui fait controverse dans votre sujet est une Ă©tape essentielle vous devez ĂȘtre capables de formuler rapidement en quelques lignes les principaux points qui font dĂ©bat dans le sujet. A ce stade de l’avancement de votre projet, les questions de la dimension du sujet et de l’échelle gĂ©ographique que vous priorisez sont deux points que vous devez avoir dĂ©finis. Vous avez donc deux principaux leviers pour prĂ©ciser votre controverse PrĂ©ciser le thĂšme, le sujet ex la voiture en ville » est une controverse trĂšs gĂ©nĂ©rale, celle des voies sur berges Ă  Paris » est beaucoup plus prĂ©cise; En choisissant une Ă©chelle gĂ©ographique prĂ©cise ex locale ou nationale ? Sur la cĂŽte normande en France ou aux États-Unis ?. Plus votre sujet de controverse est large, vaste, plus il est facile de trouver de l’information mais, plus il est difficile de trier, classer et sĂ©lectionner. Plus votre sujet est prĂ©cis, plus il va ĂȘtre facile de trier et de sĂ©lectionner vos informations. Liste exhaustive des acteurs Pour les acteurs liste complĂšte des acteurs prenant part Ă  la controverse. Si votre controverse est large nuclĂ©aire, OGM, 
, il est possible de lister les acteurs les plus importants dans votre controverse. Pour les arguments synthĂšse des principaux arguments de vos acteurs. Ces arguments sont rĂ©sumĂ©s en une phrase ou en un court paragraphe. Il faut rĂ©ussir Ă  identifier les cas oĂč deux acteurs, ou plus, partagent un argument, ou plus dans mon exemple c’est le cas des acteurs Acteur_1 et Acteur_2 qui partagent les Argument_2 et Argument_3. Acteur Argument dans la controverse Date d’entrĂ©e de l’acteur dans la controverse Groupe d’acteurs Acteur_1 Argument_1 AnnĂ©e_1 Groupe_1 Acteur_1 Argument_2 AnnĂ©e_1 Groupe_1 Acteur_1 Argument_3 AnnĂ©e_1 Groupe_1 Acteur_1 Argument_4 AnnĂ©e_1 Groupe_1 Acteur_2 Argument_2 AnnĂ©e_2 Groupe_1 Acteur_2 Argument_3 AnnĂ©e_2 Groupe_1 Acteur_3 Argument_4 AnnĂ©e_3 Groupe_2 Acteur_3 Argument_5 AnnĂ©e_3 Groupe_2 Acteur_3 Argument_3 AnnĂ©e_3 Groupe_2 Acteur_4 Argument_5 AnnĂ©e_4 Groupe_3 
 
 
 
 Acteur_n Argument_n AnnĂ©e_n Groupe_n Pour les groupes d’acteurs Ă  partir de la liste d’acteurs, il faut grouper les acteurs. En gĂ©nĂ©ral, il est possible de s’appuyer sur les enjeux associĂ©s aux acteurs Ă©conomiques, politiques, sociĂ©taux
 et sur les arguments partagĂ©s entre vos acteurs deux acteurs partageant une grande partie de leurs arguments sont probablement dans le mĂȘme groupe. Voici des exemples de groupe industriels, scientifiques, associations
. AprĂšs avoir bien prĂ©cisĂ© le pĂ©rimĂštre de la controverse sujet et gĂ©ographie et Ă  partir des Ă©lĂ©ments ci-dessus et d’autres, il est possible de construire une cartographie rendant compte de la controverse. Il peut s’agir d’une carte des arguments, d’une carte des acteurs, ou encore d’autres types de cartes. Controverses et cartographie Retrouver l’intĂ©gralitĂ© de la prĂ©sentation du cours sur la visualisation et la cartographie, avec ce qui vous a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©, mais aussi les autres diapositives. A faire Remplissez si vous ne l’avez pas dĂ©jĂ  fait de maniĂšre exhaustive le tableau des acteurs; Retravailler votre prototype de cartographie pour la discuter durant le cours. Affiche Ressources pour l’affiche L’affiche sera la porte-parole de votre analyse de controverse et, donc, des mois que vous avez passĂ© Ă  construire cette analyse. Elle est la forme la plus synthĂ©tique des trois livrables. Une fois exposĂ©e, elle sera lue par des centaines de passants dans la rue ESIEE ». Votre affiche sera donc une parmi plusieurs dizaines d’autres il faut qu’elle se dĂ©marque ! Faites relire vos textes pour vĂ©rifier les fautes d’orthographe. Évitez d’offrir aux gens » la possibilitĂ© de corriger vos fautes Ă©ventuelles au crayon sur les murs. Cela dĂ©valoriserait votre chef d’Ɠuvre ! Votre affiche devra attirer, puis Ă©clairer le lecteur. C’est aussi le Look & Feel de votre affiche qui attirera l’Ɠil des passants. Date de rendu de l'affiche Vos affiches A0 peuvent ĂȘtre imprimĂ©es par l’école Mme Martine Le Faucheux. Vous recevrez des consignes quelques semaines avant la date de l’exposition. Il y a donc une contrainte forte afin de pouvoir imprimer les 55 affiches Ă  temps chaque affiche peut prendre jusqu’à 30 minutes, il faut respecter les dĂ©lais et envoyer votre affiche la semaine qui prĂ©cĂšde l’exposition ! De mĂȘme, la technique d’impression est celle du traceur ligne Ă  ligne, en passant par l’imprimerie de l’école il faut impĂ©rativement que le fond de votre affiche soit blanc pas de fond de couleur !. Le format de l’affiche Construire et designer l’affiche est un exercice oĂč vous allez devoir trouver le bon Ă©quilibre il faut que le contenu ne soit pas trop superficiel, tout en n’étant pas trop dense. 5 minutes de lecture maximum. Un titre de la controverse; Le contexte quelle est la controverse ? Histoire, chiffres, localisation
 Les enjeux en quoi la controverse est-elle importante ?; L’historique de prĂ©fĂ©rence sous forme de frise chronologique commentĂ©e de type time line »; Les acteurs qui ? oĂč ? pourquoi ? intĂ©rĂȘts ? alliances ?; La dynamique Ă©tat actuel des choses, Ă©volutions possibles
; La cartographie de la controverse exemples de cartographies et cours Analyse des controverses et visualisation – sans cartographie il y a un malus; Les concepts clĂ©s terminologie, schĂ©mas; Des citations verbatims »; Quelques chiffres pertinents; Une mention de vos sources; Une ou plusieurs sections avec la date, les noms de vos Ă©quipiers, le cadre scolaire dans lequel s’est fait ce travail, un renvoi sur votre site web pour en savoir plus et/ou un Flash code pour accĂ©der au site; Des remerciements si vous avez rĂ©ussi Ă  interviewer ou correspondre avec des acteurs. Outils pour construire votre affiche Canva Infographic Maker Visme ModĂšle A0 Powerpoint retrouvez une copie d’écran du zonage avec les diffĂ©rents contenus attendus. Livret Ressources pour le livret Votre projet est de rĂ©diger un petit livre qui accompagnera votre controverse. Il doit ĂȘtre attractif et visuel un bon look & feel et fera une vingtaine de pages. Date de rendu du Livret Le format du livret Le livre ressemblera Ă  un livre et non un rapport acadĂ©mique ou scolaire. Il peut avoir un format portrait ou paysage. Il sera reliĂ© spirale, agrafĂ© ou autre et paginĂ©. Il fera une vingtaine de pages. Le livret devra obligatoirement contenir les sections suivantes Une page de couverture attractive illustrĂ©e avec le sujet et les noms des auteurs Une page intĂ©rieure qui donne les informations plus prĂ©cises vos noms, numĂ©ro de groupe, annĂ©e universitaire ou dĂ©but et fin du cours, nom des professeurs qui vous suivent pour les TPs et les TDs Une prĂ©face rĂ©digĂ©e par le responsable du cours en fin de ce texte ! Une introduction rĂ©digĂ©e par votre Ă©quipe. Cette introduction, sur un ton personnel et ouvert, doit expliquer le choix du sujet, les rĂŽles dans le projet, ce que vous avez appris, ce que vous auriez aimĂ© faire si vous aviez eu plus de temps. Remerciements Ă©ventuellement Une table de matiĂšres paginĂ©e Une table d’illustrations Une introduction Ă  la controverse Terminologie s’il y a des termes spĂ©cifiques Les enjeux L’historique Les acteurs Les arguments et les points de tension La cartographie de la controverse exemples de cartographies et cours Analyse des controverses et visualisation – sans cartographie il y a un malus; Une conclusion La matrice de risques en annexes matrice avec deux axes probabilitĂ© et impact effectuĂ©e dans la partie gestion de projet du cours avec la liste des risques, donc, et les actions Ă©ventuelles envisagĂ©es pour palier Ă  ces risques Une quatriĂšme de couverture avec une photo sympathique de votre Ă©quipe et un rĂ©sumĂ© de quelques lignes sur la controverse, la date, le logo de l’école accompagnĂ© de celui de l’UniversitĂ© Gustave Eiffel. Les sources et rĂ©fĂ©rences Les rĂ©fĂ©rences Ă  d’autres ouvrages ou sites web seront obligatoirement prĂ©cisĂ©es en bas de page ou en fin de chaque chapitre. Les lĂ©gendes Chaque schĂ©ma, diagramme, image doit avoir sa propre lĂ©gende numĂ©rotĂ©e. PrĂ©face Ă  mettre dans le livre Ce livret est un des livrables que l’équipe a rĂ©alisĂ© dans le cadre du cours de Cartographie de Controverses, qui a lieu en premiĂšre annĂ©e Ă  ESIEE Paris. Les auteurs avaient pour mission de trouver un sujet intĂ©ressant et de le traiter selon un protocole particulier. Chaque Ă©quipe a Ă©tĂ© suivie par un professeur lors des sĂ©ances de travaux pratiques et par un autre professeur pour la partie gestion de projet. Les rĂ©sultats ont Ă©tĂ© mĂ©diatisĂ©s par une affiche, un Site Web et ce livret. Bonne lecture ! Lionel Villard responsable du cours et l’équipe des professeurs Jour – Mois – AnnĂ©e Site Web Construire le Site Web S’atteler Ă  la construction du site web peut sembler au dĂ©but une tache trĂšs ardue. Pourtant, en fonction des compĂ©tences de votre groupe, vous pouvez vous orienter vers des choix techniques qui correspondront au mieux Ă  vos besoins et Ă  votre projet d’analyse de controverse. Votre site web hĂ©bergera votre analyse dans son niveau de dĂ©tail le plus poussĂ©. Date de rendu du Site Web Les trois options Construire votre site en le dĂ©veloppant vous-mĂȘme entiĂšrement compĂ©tences en dĂ©veloppement indispensables. Les technologies utilisĂ©es seront probablement HTML ou, en plus avancĂ©, le couple php/MySQL
 Pour cela vous aurez besoin d’un simple Ă©diteur de texte de type NotePad++, Sublime Text ou, en beaucoup plus complet, d’un IDE de type NetBeans, PHPEdit
 Ne sous-estimez pas le temps nĂ©cessaire pour dĂ©velopper vous-mĂȘme un site web. C’est long et techniquement complexe. Ne choisissez cette option que si un membre de votre groupe a dĂ©jĂ  plusieurs dĂ©veloppements de Site Web Ă  son actif. Utiliser un CMS Content Management System et le dĂ©ployer sur un serveur votre espace personnel ESIEE, ou un serveur distant extĂ©rieur
 en lui associant Ă©ventuellement un nom de domaine compĂ©tences en programmation du web dynamique prĂ©fĂ©rable, nĂ©cessite de paramĂ©trer un serveur. Les principaux CMS sont WordPress, Drupal, Joomla
 En optant pour cette solution, il vous faudra travailler au design global de votre page en intervenant Ă©ventuellement manuellement HTML, CSS. LĂ  encore, ne sous-estimez par le temps nĂ©cessaire pour vous saisir d’un CMS ils sont complets mais Ă©galement complexes. ConsidĂ©rez cette option seulement dans le cas oĂč vous avez les compĂ©tences en interne, dans votre groupe. Utiliser une plateforme offrant des possibilitĂ©s simplifiĂ©es pour publier des contenus. Ainsi vous n’avez pas de programmation Ă  effectuer, et vous pouvez vous concentrer sur l’ergonomie du site template, positions des menus et modules
 ainsi que sur le contenu Ă©ditorial. Exemples webself, Wix, WordPress, blogger
 Trouver le bon Ă©quilibre entre contenus et dĂ©veloppement Vous devez considĂ©rer votre site, non pas comme un objet technique oĂč vos efforts iraient principalement Ă  son dĂ©veloppement, mais d’avantage comme le support de votre analyse, qui permettra de la rendre visible au public et de la mettre en valeur. RĂ©flĂ©chissez donc d’avantage aux contenus prĂ©sentation claire de votre controverse, de l’historique
, aux images illustrations, cartographie
, et Ă  l’arborescence des menus et Ă  la clartĂ© gĂ©nĂ©rale textes, menus
. RĂ©fĂ©rences aux sites web du cours et de l’école Sur l’une des pages de votre choix, ou dans le pied de page footer, faites rĂ©fĂ©rence au site web du cours ainsi qu’à celui de l’école ESIEE Paris avec les logo esiee paris et UGE ?. Outils pour construire votre Site Web Wix, webself; WordPress; blogger; Drupal, Joomla.
Feuillede route Scientifique et Technique 2/13 Les enjeux de dĂ©veloppement des EMR _____ L’objectif pour les acteurs nationaux est double et vise principalement Ă  : - exploiter le potentiel naturel pour introduire dans le mix Ă©nergĂ©tique, parmi les objectifs d'Ă©nergie renouvelable, une part d'Ă©nergie marine. Ceci se fera en maximisant
Le sujet, le document complĂ©mentaire et le corrigĂ© du Bac Pro TISEC pour l'Ă©preuve d'analyse scientifique et technique d'une installation de 2010. Scribd Il n'y a aucune Ă©valuation pour l'instant. Soyez le premier Ă  l'Ă©valuer Donnez votre Ă©valuation Sujet et corrigĂ© - Bac Pro TISEC - analyse scientifique et technique d'une installation - 2010 * Champs obligatoires Votre commentaire Vous ĂȘtes ÉlĂšve Professeur Parent Email Pseudo Votre commentaire < 1200 caractĂšres Vos notes ClartĂ© du contenu 5 Ă©toiles 4 Ă©toiles 3 Ă©toiles 2 Ă©toiles 1 Ă©toiles UtilitĂ© du contenu 5 Ă©toiles 4 Ă©toiles 3 Ă©toiles 2 Ă©toiles 1 Ă©toiles QualitĂ© du contenu 5 Ă©toiles 4 Ă©toiles 3 Ă©toiles 2 Ă©toiles 1 Ă©toiles LycĂ©e Bac pro 7490.19 Autres services scientifiques et techniques de conseil n.c.a. Cette sous-catĂ©gorie comprend: les services de conseil scientifique fournis par des mathĂ©maticiens, statisticiens, etc. les services fournis par des agronomes et des spĂ©cialistes en Ă©conomie agricole; les services fournis par des experts-mĂ©treurs
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Unouvrage cĂ©lĂšbre de 1563, Ă©ditĂ© Ă  Goa, qui constitue sans doute le premier traitĂ© de botanique moderne, met en scĂšne un dialogue entre un Portugais et des savants asiatiques. Il a Ă©tĂ© rapidement diffusĂ© et lu par les Hollandais, trĂšs entre-prenants et sensibles au commerce. Article de rĂ©fĂ©rence RĂ©f BM5145 v1 Principes fondamentaux Analyse vibratoire des machines tournantes Auteurs David AUGEIX Date de publication 10 janv. 2001 Cet article fait partie de l’offre Fonctions et composants mĂ©caniques 203 articles en ce moment Cette offre vous donne accĂšs Ă  Une base complĂšte et actualisĂ©e d'articles validĂ©s par des comitĂ©s scientifiques Un service Questions aux experts et des outils pratiques Des Quiz interactifs pour valider la comprĂ©hension et ancrer les connaissances Quitter la lecture facile PrĂ©sentation MatĂ©riel et prises de mesures Pour de plus amples dĂ©tails, le lecteur se reportera au paragraphe Moyens d’étude nĂ©cessaires » en . IdĂ©alement, le matĂ©riel de mesure enregistre le signal vibratoire brut. En fonction des besoins de l’analyse, on dĂ©finit ensuite des indicateurs calculĂ©s Ă  partir de ce signal. L’évolution de ces indicateurs renseigne sur l’usure de la machine. La mesure et le stockage du signal vibratoire brut ne sont malheureusement pas possibles avec les moyens matĂ©riels actuels. Cela oblige le technicien Ă  prĂ©voir, dĂšs la conception de la ronde de surveillance, les diffĂ©rents indicateurs qui vont ĂȘtre nĂ©cessaires afin de rĂ©pondre aux objectifs fixĂ©s. Le soin apportĂ© Ă  la prĂ©paration de la ronde et au paramĂ©trage du matĂ©riel de mesure conditionne donc, en grande partie, la qualitĂ© de l’analyse rĂ©alisĂ©e par la suite. HAUT DE PAGE Indicateurs de surveillance dĂ©tection des dĂ©fauts Ce sont des indicateurs grandeurs physiques utilisĂ©s rĂ©guliĂšrement pour surveiller les installations. Leurs Ă©volutions permettent d’alerter le technicien d’une dĂ©gradation du fonctionnement sans pour autant dĂ©signer l’élĂ©ment dĂ©fectueux. On distingue les indicateurs scalaires ou niveaux globaux NG ; les indicateurs de forme ou spectres. Ces indicateurs constituent, lors d’une premiĂšre campagne de mesures rĂ©alisĂ©e sur la machine en bon Ă©tat ou supposĂ©e telle, la signature de la machine. Ils sont prĂ©sentĂ©s en dĂ©tail dans les paragraphes suivants. HAUT DE PAGE Indicateurs de diagnostic recherche de la cause des dĂ©fauts Ils sont utilisĂ©s lorsque l’on dĂ©tecte une anomalie Ă  l’aide des indicateurs de surveillance. Cette anomalie est souvent une Ă©volution jugĂ©e importante par rapport Ă  la diagnostic du dĂ©faut dĂ©tectĂ© demande souvent une prĂ©cision que... BIBLIOGRAPHIE 1 - BRUËL, KJAER - Initiation aux mesures de vibration - . 2 - PACHAUD C., BOULENGER A. - Surveillance et diagnostic par analyse de vibrations. - AIF 1997. 3 - BIGRET R. - Vibrations des machines tournantes et des structures - 4 volumes. Technique et Documentation 1980. ANNEXES 1 Logiciels 2 Normalisation International Organization for Standardization ISO Association française de Normalisation AFNOR 3 Annexe 1. Rappels mathĂ©matiques Vibrations quantification, vocabulaire Signal pĂ©riodique et transformĂ©e de Fourier aspects pratiques DĂ©cibels, niveaux de rĂ©fĂ©rence, alerte et danger 2. Moyens d’étude nĂ©cessaires 3. Évolution d’un niveau global 4. FrĂ©quences caractĂ©ristiques des dĂ©fauts de roulement 5. Niveaux globaux spĂ©cifiques aux roulements 6. ItinĂ©raire 7. Rapport technique du logiciel d’analyse 8. Fiches de travail Liste Type de machine » Fiche FrĂ©quences de dĂ©fauts » Fiche DĂ©finition de machine » Dossier Surveillance vibratoire - DĂ©finition » Dossier d’intervention Fiche... DÉTAIL DE L'ABONNEMENT TOUS LES ARTICLES DE VOTRE RESSOURCE DOCUMENTAIRE AccĂšs aux Articles et leurs mises Ă  jour NouveautĂ©s Archives Articles interactifs Formats HTML illimitĂ© Versions PDF Site responsive mobile Info parution Toutes les nouveautĂ©s de vos ressources documentaires par email DES ARTICLES INTERACTIFS Articles enrichis de quiz ExpĂ©rience de lecture amĂ©liorĂ©e Quiz attractifs, stimulants et variĂ©s ComprĂ©hension et ancrage mĂ©moriel assurĂ©s DES SERVICES ET OUTILS PRATIQUES Votre site est 100% responsive, compatible PC, mobiles et tablettes. FORMULES Formule monoposte Autres formules Ressources documentaires Consultation HTML des articles IllimitĂ©e IllimitĂ©e Quiz d'entraĂźnement IllimitĂ©s IllimitĂ©s TĂ©lĂ©chargement des versions PDF 5 / jour Selon devis AccĂšs aux archives Oui Oui Info parution Oui Oui Services inclus Questions aux experts 1 4 / an Jusqu'Ă  12 par an Articles DĂ©couverte 5 / an Jusqu'Ă  7 par an Dictionnaire technique multilingue Oui Oui 1 Non disponible pour les lycĂ©es, les Ă©tablissements d’enseignement supĂ©rieur et autres organismes de formation. Formule 12 mois monoposte 2 185 € HT Autres formules Multiposte, pluriannuelle DEMANDER UN DEVIS
\n \n analyse scientifique et technique d une installation
TechnicienFroid et Conditionnement Air Session : 2012 E.1- EPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Sous-Ă©preuve E11 UNITE CERTIFICATIVE U11 Analyse scientifique et technique d’une installation DurĂ©e : 4h Coef. : 3 DOSSIER REPONSES SEUL LE DOSSIER REPONSES EST A RENDRE AGRAFE DANS UNE COPIE ANONYMEE MODELE E.N. La calculatrice est Par KADIATA KADIATA Fidel Connectez-vous pour obtenir le contenu Au terme de ce travail intitulĂ© ANALYSE D’INSTALLATION TECHNIQUE HOSPITALIERE DANS UNE INSTITUTION HOSPITALIERE » rappelons que le but essentiel de ce travail est d’amĂ©liorer les normes d’installations techniques hospitaliĂšre de l’implantation des structures sanitaires Ă  travers les respects des exigences et les conditions de fonctionnement de diffĂ©rents services hospitaliers Ce prĂ©sent travail a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© Ă  l’aide de certain mĂ©thode et technique scientifiques notamment la mĂ©thode rĂ©trospective et prospective qui nous ont permis d’élaborer la partie thĂ©orique et la rĂ©colte des donnĂ©es le questionnaire l’interview guidĂ© rĂ©aliser sous forme d’entretien avec les enquĂȘtĂ©s ainsi que l’observation direct. Lanalyse des caractĂ©ristiques de la recherche scientifique et technique des pays sous-dĂ©veloppĂ©s s'appuiera sur les donnĂ©es empiriques recueillies au cours d'enquĂȘtes couvrant leurs « systĂšmes nationaux de recherche », c'est-Ă - dire l'ensemble des activitĂ©s scientifiques et techniques de leurs instituts, centres et laboratoires de recherche.
L'analyse interne d'une entreprise est une sĂ©rie de techniques permettant de connaĂźtre l'Ă©tat de tous ses facteurs internes. Telles que les capacitĂ©s et les ressources qui peuvent ĂȘtre utilisĂ©es pour dĂ©velopper ou maintenir votre avantage concurrentiel. Lorsqu'une entreprise connaĂźt ses facteurs internes, elle peut en tirer le meilleur parti pour dĂ©velopper ou maintenir son avantage concurrentiel. Cela vous permet de mieux faire face Ă  votre environnement concurrentiel et d'ĂȘtre en mesure d'atteindre vos buts et objectifs. Bien entendu, l'analyse interne de l'entreprise vous permet de dĂ©terminer quelles sont ses forces et ses faiblesses. En connaissant ses facteurs internes, l'entreprise dĂ©termine quelles sont ses capacitĂ©s et ses ressources pour ĂȘtre compĂ©titive. De plus, en connaissant vos facteurs internes, vous pouvez dĂ©terminer les stratĂ©gies que vous pouvez mettre en Ɠuvre pour remĂ©dier Ă  vos faiblesses et tirer le meilleur parti de vos forces. Quels Ă©lĂ©ments doivent ĂȘtre analysĂ©s Toute entreprise effectuant une analyse interne doit rechercher des informations sur 1. Ressources tangibles Toutes les ressources tangibles dont dispose une entreprise sont faciles Ă  connaĂźtre et Ă  Ă©valuer, car elles peuvent ĂȘtre facilement perçues. Parmi ceux-ci, nous pouvons trouver des ressources financiĂšres, technologiques, organisationnelles et physiques. Ă . Ressources financiĂšres Les ressources financiĂšres sont toutes les ressources Ă  partir desquelles l'entreprise obtient les fonds qui seront utilisĂ©s pour financer les activitĂ©s et les investissements en cours. Ici, vous devez connaĂźtre le montant des actifs disponibles, la possibilitĂ© d'augmenter vos dividendes et votre capacitĂ© d'emprunt. b. Ressources technologiques Ensuite, les ressources technologiques sont toutes les ressources qui permettent Ă  l'entreprise de collecter et de gĂ©rer des donnĂ©es et des informations. Cela vous permet de fonctionner plus efficacement. Ainsi, ici, vous pouvez rassembler des secrets d'affaires, des marques, des processus innovants, des brevets, parmi les plus pertinents pour crĂ©er un avantage pour l'entreprise. c. Ressources organisationnelles De mĂȘme, ces ressources comprennent des systĂšmes de planification stratĂ©gique, d'Ă©valuation et de contrĂŽle qui aident l'entreprise Ă  s'organiser et Ă  fonctionner correctement. rĂ©. Ressources physiques En outre, les ressources physiques comprennent tout ce que l'entreprise possĂšde, comme les installations, les Ă©quipements et les machines, qui aident ses processus Ă  ĂȘtre efficaces et Ă  atteindre les objectifs proposĂ©s. Analyse interne d'une entrepriseRessources tangibles 2. Ressources immatĂ©rielles Par consĂ©quent, les ressources immatĂ©rielles sont plus difficiles Ă  Ă©valuer car il est plus difficile de les expliquer et de les Ă©valuer. Ceci, car ils se situent dans les pratiques que l'entreprise mĂšne Ă  tout moment et qui sont gĂ©nĂ©ralement en constante Ă©volution. Les plus importants sont les ressources humaines, la culture d'entreprise, l'innovation et les ressources d'image. Ă . Ressources humaines Surtout, ces ressources sont le lieu oĂč se situent les compĂ©tences de travail possĂ©dĂ©es par les ressources humaines. Ce qui comprend une sĂ©rie de capacitĂ©s, d'expĂ©riences et de capacitĂ©s de gestion qui sont visualisĂ©es dans l'exĂ©cution efficace du travail. b. Culture d'entreprise Certes, la culture d'entreprise constitue une sĂ©rie de croyances, de normes et de valeurs qu'une entreprise applique pour mener Ă  bien son travail. La culture d'entreprise permet Ă  une entreprise de se diffĂ©rencier d'une autre et cela peut lui donner un avantage concurrentiel. c. Ressources d'innovation Au lieu de cela, les ressources d'innovation sont toutes des idĂ©es, des connaissances, des pratiques et des procĂ©dures; Ă  la fois techniques et scientifiques spĂ©cifiques Ă  chaque entreprise. Tout cela est appliquĂ© dans le dĂ©veloppement de pratiques crĂ©atives qui contribuent Ă  gĂ©nĂ©rer des processus d'innovation. rĂ©. Ressources d'image Enfin, ces ressources renvoient au concept de positionnement et d'image d'une entreprise. Soit Ă  travers ses marques, ses produits, ses valeurs d'honnĂȘtetĂ©, de confiance et de qualitĂ© dans ses offres de marchĂ©. Analyse interne d'une entrepriseRessources immatĂ©rielles 3. CapacitĂ© organisationnelle Enfin, la capacitĂ© organisationnelle d'une entreprise ne peut ĂȘtre qualifiĂ©e de ressources tangibles ou immatĂ©rielles. Il se rĂ©fĂšre plus que tout Ă  l'ensemble des aptitudes et compĂ©tences d'une entreprise qu'elle applique dans ses processus de production et la livraison de biens et de services sur le marchĂ©. Par consĂ©quent, certains d'entre eux incluent une capacitĂ© de production de produits supĂ©rieure, un service client de premier ordre, l'application d'excellents processus d'innovation et la flexibilitĂ© dans tous ses processus. Enfin, nous pouvons affirmer que l'analyse interne d'une entreprise est trĂšs importante, car elle lui permet de dĂ©celer ses forces et ses faiblesses. Avec les informations collectĂ©es, des mesures peuvent ĂȘtre prises pour minimiser les faiblesses identifiĂ©es et exploiter au maximum les forces possĂ©dĂ©es. Cela peut ĂȘtre rĂ©alisĂ© en utilisant les ressources et les capacitĂ©s dont une entreprise possĂšde de maniĂšre optimale et efficace.
IRSN- Rapport scientifique et technique 2005 L’IRSN a achevĂ© Ă  l’automne 2005 la rĂ©alisation d’un bilan des expertises relatives Ă  l’impact des facteurs humains et organisationnels sur la sĂ»retĂ© des installations nuclĂ©aires effectuĂ©es pendant les 15 derniĂšres annĂ©es. Ce bilan comporte trois parties : L’analyse des 160 contributions rĂ©digĂ©es par l’IRSN a conduit Ă  les

PubliĂ© le 22 octobre 2019 par Gaspard Claude. Un grand nombre de personnes sont amenĂ©es Ă  rĂ©aliser une Ă©tude qualitative un Ă©tudiant qui effectue des recherches pour son mĂ©moire ou un professionnel qui doit mener une Ă©tude de marchĂ©. L’article prĂ©sente l’étude qualitative sous tous les angles vous allez apprendre Ă  mener ce type d’enquĂȘte et Ă  analyser les rĂ©sultats obtenus. Un exemple complet rĂ©capitulatif se trouve Ă  la fin. Table des matiĂšresDĂ©finition gĂ©nĂ©rale d’une Ă©tude qualitativeLes techniques de l’étude qualitativeComment mener une Ă©tude qualitative en 8 Ă©tapes ?L’analyse des donnĂ©es d’une Ă©tude qualitativeExemple complet d’étude qualitative DĂ©finition gĂ©nĂ©rale d’une Ă©tude qualitative Le but de la recherche qualitative est de dĂ©velopper des concepts qui nous aident Ă  comprendre les phĂ©nomĂšnes sociaux dans des contextes naturels plutĂŽt qu’expĂ©rimentaux, en mettant l’accent sur les significations, les expĂ©riences et les points de vue de tous les participants. » Mays et Pope, 1995, p. 43. À la diffĂ©rence de l’étude quantitative, l’étude qualitative est une méthode qui permet d’analyser et comprendre des phénomènes, des comportements de groupe, des faits ou des sujets. L’objectif n’est pas d’obtenir une quantitĂ© importante de donnĂ©es, mais d’obtenir des donnĂ©es de fond de qualitĂ© !. Cette mĂ©thode de recherche descriptive se concentre sur des interprĂ©tations, des expĂ©riences et leur signification. Son approche comprĂ©hensive peut ĂȘtre utilisĂ©e dans beaucoup de domaines comme dans les sciences sociales, l’histoire ou les Ă©tudes de marchĂ© notamment en marketing. Les techniques de l’étude qualitative L’étude qualitative s’appuie sur une collecte de donnĂ©es qualitatives qui sont obtenues grĂące Ă  deux mĂ©thodes principales. Techniques principales l’observation, l’entretien et le focus group Observation Entretien Focus group Recueil d’informations prĂ©sentes Ă©motions, ton, hexis, silences, hĂ©sitations
. Entretiens entre interviewer et interviewĂ©. Observation des interactions entre participants. L’observation L’observation est une technique trĂšs utilisĂ©e dans les Ă©tudes qualitatives et permet une analyse du rĂ©el elle permet de dĂ©crire des comportements, des lieux, des situations et des Ă©motions auxquels vous assistez en temps qu’observateur. L’étudiant ou le professionnel peuvent choisir entre l’observation participante vous vous immergez pleinement dans l’expĂ©rience et y prenez part ou non-participante vous ne faites pas partie du cadre social observĂ©. Plusieurs techniques existent L’observation incognito observer sans ĂȘtre vu ni dĂ©voiler sa dĂ©marche de recherche. L’observation Ă  dĂ©couvert observer en ayant informĂ© les personnes observĂ©es de la dĂ©marche de recherche. L’observation armĂ©e observer et possĂ©der un instrument ou une personne qui propose les questions aux sujets et enregistre les rĂ©ponses. Exemple d’observation Dans le cadre d’un mĂ©moire sur l’accueil des rĂ©fugiĂ©s en France, un Ă©tudiant peut effectuer une Ă©tude qualitative en observant un centre d’accueil des migrants. Ces observations doivent permettre de faire Ă©merger des informations Ă  partir des notes prises et des Ă©lĂ©ments constatĂ©s. Les entretiens Pour effectuer une Ă©tude qualitative, vous pouvez aussi faire passer des entretiens. L’entretien permet Ă  l’étudiant de rĂ©colter des donnĂ©es verbales qui sont rĂ©coltĂ©es grĂące Ă  des questions prĂ©parĂ©es ou non. Cette seconde technique de l’étude qualitative permet de comprendre le sujet Ă  partir d’interprĂ©tations des donnĂ©es rĂ©coltĂ©es lors des tĂ©moignages. L’étudiant peut choisir entre L’entretien directif. L’entretien semi-directif. L’entretien non-directif. Exemple d’entretien Sur le mĂȘme mĂ©moire au sujet de l’accueil des rĂ©fugiĂ©s en France, l’étudiant pourrait opter pour la technique de l’entretien semi-directif. Il s’agit d’aller interroger des migrants, des bĂ©nĂ©voles de l’association ou des responsables politiques en prĂ©parant des questions qui lui permettrait de vĂ©rifier ses hypothĂšses. Le focus group Cette technique consiste Ă  rassembler des individus pour comprendre leur comportement Ă  l’égard d’un phĂ©nomĂšne, d’un sujet ou d’un produit. Ce protocole d’enquĂȘte permet de recueillir l’opinion de plusieurs personnes Ă  la fois dans un environnement social spĂ©cifique. Il est souvent plĂ©biscitĂ© pour Ă©tablir une enquĂȘte qualitative de marchĂ©. Cette technique permet aussi d’étudier les relations sociales entre les personnes prĂ©sentes. La prĂ©sence d’autrui permet de mettre les individus sous une pression qui rĂ©vĂšle certains comportements. Exemple de focus group Le focus group dans le cadre du mĂ©moire sur l’accueil des rĂ©fugiĂ©s en France pourrait consister Ă  rĂ©unir plusieurs personnes rĂ©fugiĂ©es afin de discuter de leur situation. Les autres techniques de l’étude qualitative Pour mener Ă  bien une Ă©tude qualitative, d’autres mĂ©thodes peuvent Ă©galement ĂȘtre utilisĂ©es. Le recueil documentaire Le recueil documentaire permet de collecter des informations Ă  partir d’écrits dĂ©jĂ  existants sur le sujet de recherche documents externes sites Internet, plaquettes, documents internes, rapports d’activitĂ©s, organigrammes
. Exemple de recueil documentaire Pour le mĂ©moire sur l’accueil des rĂ©fugiĂ©s en France, un recueil documentaire reviendrait Ă  Ă©tudier les sites Internet d’associations, des textes de loi, des articles universitaires ou de presse, des entretiens ou des livres Ă  ce sujet. L’analyse de discours Cette mĂ©thode revient Ă  Ă©tudier un discours pour en faire ressortir des donnĂ©es Ă  analyser par la suite. Exemple de discours ConcrĂštement, dans le cadre du mĂ©moire sur l’accueil des rĂ©fugiĂ©s en France, cela pourrait revenir Ă  analyser une prise de parole politique au sujet du droit du sol. L’analyse de politiques publiques Cette mĂ©thode revient Ă  Ă©tudier ce qui est fait par le gouvernement. On s’intĂ©resse Ă  la maniĂšre employĂ©e par celui-ci dans un domaine en particulier. On analyse les effets induits par les actions de l’État. Exemple d’analyse de politiques publiques L’étudiant peut analyser une politique publique menĂ©e sur son sujet de recherche. Pour un mĂ©moire sur l’accueil des migrants en France, l’étudiant pourrait Ă©tudier un chapitre de loi sur le droit d’asile en France. Ses recherches peuvent ĂȘtre suivies d’une analyse de terrain mĂ©thode de l’observation. Le but est de comprendre si la loi s’applique bien dans la rĂ©alitĂ©. Les spĂ©cificitĂ©s des techniques de l’étude qualitative La recherche qualitative est gĂ©nĂ©ralement interprĂ©tative il ne s’agit pas de tester des thĂ©ories, mais bien de comprendre un phĂ©nomĂšne donnĂ© Ă  partir d’interprĂ©tations, de tĂ©moignages ou d’opinions recueillis. Dans un mĂ©moire ou une thĂšse, on met en place une Ă©tude qualitative Dans des situations complexes. Quand la recherche porte sur des pensĂ©es, du sens ou de l’expĂ©rience. Pour dĂ©terminer les variables pertinentes d’une future Ă©tude quantitative. Pour approfondir les corrĂ©lations inattendues d’une Ă©tude quantitative. Lorsqu’un chercheur a une objection fondamentale Ă  quantifier diffĂ©rents aspects de l’existence humaine. Les diverses mĂ©thodes de recherche qualitative comme les entretiens ou les observations ont les caractĂ©ristiques suivantes Le chercheur n’a gĂ©nĂ©ralement pas une idĂ©e claire des concepts et des rĂ©sultats qui seront pertinents. Le plan de recherche est souvent plus flexible qu’avec des Ă©tudes quantitatives. La recherche est effectuĂ©e dans des environnements rĂ©els ». La construction de la thĂ©orie est plus importante que les tests thĂ©oriques. Les hypothĂšses ne se vĂ©rifient presque jamais. Combien de fautes dans votre document ? Nos correcteurs corrigent en moyenne 150 fautes pour 1 000 mots. Vous vous demandez ce qui sera corrigĂ© exactement ? DĂ©placez le curseur de gauche Ă  droite ! Faites corriger votre document Afin de mener une Ă©tude qualitative qui soit le plus efficace possible pour le travail de recherche effectuĂ©, il est utile de respecter un processus dĂ©fini. Les 8 Ă©tapes pour faire une Ă©tude qualitative Voici les Ă©tapes Ă  suivre pour effectuer une Ă©tude qualitative. DĂ©limitation de la question de recherche il vous faut Ă©tablir une problĂ©matique autour du phĂ©nomĂšne, du sujet ou du fait Ă  analyser. HypothĂšses Ă  partir de votre question de recherche, vous aller dĂ©finir des hypothĂšses que vous voudrez vĂ©rifier avec une mĂ©thode de recherche qualitative. Choix de la mĂ©thode choisissez la mĂ©thode qui vous correspond le mieux observations, entretien, focus group 
. DĂ©finition de l’échantillon poursuivez dĂ©sormais en dĂ©finissant l’échantillon Qui questionner ? Combien de personnes ?. Interrogez-vous sur la pertinence de l’échantillon par rapport Ă  vos hypothĂšses. PrĂ©paration pensez Ă  bien cadrer votre recherche, Ă  maĂźtriser au mieux le sujet, Ă  savoir exactement ce que vous voulez obtenir comme informations. Collecte des donnĂ©es qualitatives collectez les donnĂ©es qui vous apporteront des Ă©lĂ©ments de rĂ©ponse essentiels. Analyse il vous faudra retranscrire, dĂ©crypter et utiliser un codage pour analyser vos donnĂ©es. Vous pourrez ensuite Ă©crire la conclusion de l’étude qualitative Ă  partir des Ă©lĂ©ments analysĂ©s. PrĂ©sentation dans un travail de recherche les donnĂ©es collectĂ©es et analysĂ©es peuvent dĂ©sormais ĂȘtre prĂ©sentĂ©es dans un document acadĂ©mique thĂšses, mĂ©moire, article scientifique
. Les 3 phases de l’étude qualitative En rĂ©sumĂ©, le processus de l’étude qualitative Ă©tudiĂ© ci-dessus se dĂ©cline en trois phases de travail. Phase 1 Phase 2 Phase 3 Recueil de l’information Cette premiĂšre Ă©tape du travail est primordiale la crĂ©dibilitĂ© de votre Ă©tude qualitative repose sur la qualitĂ© et l’intĂ©rĂȘt des informations recueillies. Traitement de l’information Cette phase doit faire le lien entre le recueil de l’information et l’analyse il s’agit ici de synthĂ©tiser les donnĂ©es rĂ©coltĂ©es afin de produire en phase 3, une analyse la plus pertinente possible. Analyse de l’information Dans un troisiĂšme temps, l’analyse des donnĂ©es retranscrites et synthĂ©tisĂ©es vous permettra d’élaborer votre conclusion. Observations Entretiens Focus group Retranscription SynthĂšse Tableau rĂ©capitulatif Analyse des donnĂ©es Conclusion L’analyse des donnĂ©es d’une Ă©tude qualitative Une fois collectĂ©es, il faut analyser les donnĂ©es qualitatives obtenues. Plusieurs approches sont possibles en fonction de votre objectif de recherche Mettre en exergue des rĂ©gularitĂ©s. Expliquer la signification d’un texte ou comportement. Apporter une nouvelle rĂ©flexion. Étudier diffĂ©rentes dimensions d’un concept. Pour analyser des donnĂ©es rĂ©coltĂ©es par entretien, il est possible de procĂ©der de la façon suivante Retranscrire l’entretien des logiciels existent pour vous aider. Étudiez le texte et codifiez-le utilisez le mĂȘme systĂšme de codification pour vos diffĂ©rents entretiens. Comparer les codifications et rechercher des rĂ©gularitĂ©s ces modĂšles forment la base de votre analyse finale. Les rĂ©sultats de l’étude qualitative sont gĂ©nĂ©ralement dĂ©crits avec des mots, mais il est aussi possible d’utiliser des tableaux, graphiques ou des images. À noter que des logiciels spĂ©ciaux sont disponibles pour l’analyse d’une Ă©tude qualitative, tels que NVivo, Kwalitan, KODANI et MAXqda. Certains d’entre eux peuvent ĂȘtre utilisĂ©s gratuitement grĂące Ă  votre Ă©tablissement. Exemple complet d’étude qualitative Pour rendre le plus comprĂ©hensible possible l’étude qualitative, voici un exemple complet de l’utilisation de ce type de recherche dans un mĂ©moire universitaire. Sujet Le mal-ĂȘtre des policiers au travail. L’étudiant souhaite Ă©tudier la corrĂ©lation entre le mal-ĂȘtre des policiers et le manque de moyens qui leur est allouĂ© salaire, heures supplĂ©mentaires non payĂ©es, locaux insalubres, matĂ©riels dĂ©fectueux. Il dĂ©cide ainsi de rĂ©aliser une Ă©tude qualitative pour mieux comprendre ce phĂ©nomĂšne. Question de recherche En quoi les conditions de travail actuelles sont-elles un facteur de mal-ĂȘtre pour les policiers français ? HypothĂšses Les mĂ©dias et le mouvement des gilets jaunes accroissent la pression subie par les policiers. Les armes et l’ambiance virile rendent le suicide plus facile. La fin de la camaraderie et la dĂ©gradation des relations entre la base et les chefs isolent les individus. Le manque d’accompagnement psychologique ne permet pas d’éviter un Ă©tat mental en danger. MĂ©thodes utilisĂ©es L’étudiant a alors le choix entre diverses mĂ©thodes Il peut choisir l’observation dans un commissariat de police. En visualisant le quotidien des policiers pour constater certaines pratiques ou situations qui pourraient expliquer les difficultĂ©s du mĂ©tier. Il peut aussi mener des entretiens. Si l’observation permet d’étudier certains phĂ©nomĂšnes de l’extĂ©rieur, l’entretien semble plus appropriĂ© pour obtenir des tĂ©moignages pertinents sur le phĂ©nomĂšne Ă©tudiĂ©. L’étudiant devra choisir entre entretien directif, semi-directif et libre. Chaque type dĂ©pend du statut des hypothĂšses et des prĂ©fĂ©rences de l’étudiant prĂ©fĂšre-t-il diriger les entretiens ou donner toute libertĂ© aux personnes interviewĂ©es. Au final, c’est Ă  lui de choisir la mĂ©thode qui lui correspond le mieux. Celle qui sera le plus utile Ă  son mĂ©moire pour recueillir un maximum d’informations et celle avec laquelle il se sent le plus Ă  l’aise. Imaginons ici que l’étudiant choisisse de mener un entretien semi-directif il prĂ©pare des questions Ă  poser, mais n’est pas contre le fait que les personnes interviewĂ©es divergent de celles-ci. PrĂ©parations Il lui faut bien dĂ©finir l’échantillon Ă  interroger selon les rĂ©ponses que l’on souhaite avoir les personnes doivent ĂȘtre contactĂ©es Ă  l’avance et un rendez-vous doit ĂȘtre pris. PrĂ©parer un carnet de notes, un microphone et de quoi filmer l’entretien. L’étudiant continue le processus de son Ă©tude qualitative en prĂ©parant maintenant le contenu de la mĂ©thode dĂ©finie. Quelles questions poser ? A qui ? Sous quel angle ? Sur quel ton ? Dans le cas oĂč il choisit l’entretien semi-directif, l’étudiant doit prĂ©parer une sĂ©rie de questions ouvertes pour laisser Ă  l’interviewĂ© une certaine libertĂ© dans sa rĂ©ponse. Conseil si le microphone et la vidĂ©o sont de bons outils, ils peuvent ĂȘtre de faux-amis en entretien, car l’assurance de pouvoir réécouter l’interview peut apporter une dĂ©concentration sur ce que dit en temps rĂ©el la personne interrogĂ©e. Le mieux est alors de prendre en note dans un carnet, les moments clĂ©s de l’entretien, mĂȘme lorsque celui-ci est enregistrĂ©. Collecte de donnĂ©es Le jour J, l’étudiant doit Faire attention Ă  son comportement et sa tenue. Apporter tout le matĂ©riel nĂ©cessaire. Tester l’enregistrement. Prendre des notes pour rebondir si nĂ©cessaire. Observer les non-dits ton, hĂ©sitations, hexis
. RĂ©sultats et analyses AprĂšs avoir effectuĂ© plusieurs entretiens semi-directifs auprĂšs de policiers, l’étudiant effectue la retranscription des donnĂ©es rĂ©coltĂ©es et le codage de celles-ci. Puis, il est possible de faire une mise en comparaison pour faire remonter des rĂ©gularitĂ©s. Il peut Ă©tablir un tableau rĂ©capitulatif oĂč sont indiquĂ©es dans des colonnes, les rĂ©ponses de policiers interviewĂ©s, sur un facteur prĂ©cis. Si l’étudiant a choisi l’entretien, il peut alors regrouper les informations en hiĂ©rarchisant les questions de la plus gĂ©nĂ©rale Ă  la plus spĂ©cifique. L’analyse de ces prises de parole doit permettre d’apporter une explication avec des mots, du phĂ©nomĂšne, du sujet, ou bien du fait, de dĂ©part. L’étudiant pourra enfin, prĂ©senter l’analyse finale de sa recherche qualitative dans son mĂ©moire. Il peut rĂ©diger une analyse Ă©crite sous forme de paragraphe argumentĂ©. Ou bien sous forme de tableau explicatif, accompagnĂ©e d’une analyse Ă©crite sur les donnĂ©es ressortant dans le tableau. En conclusion, l’étude qualitative est une technique de recherche efficace pour de nombreux travaux de recherche. Son processus, qu’importe la mĂ©thode choisie, permet de regrouper un grand nombre d’informations qualitatives. Celles-ci s’avĂšrent utiles pour comprendre un phĂ©nomĂšne et lui donner une explication. Cet article est-il utile ? Vous avez dĂ©jĂ  votĂ©. Merci - Votre vote est enregistrĂ© - Traitement de votre vote...

dossiertechnique d'une installation pour rĂ©aliser une installation Ă©lectrique, l'Ă©lectrotechnicien clöit tenir compte Ă  la fois — des besoins en Ă©lectricitĂ© de i'utilisateur — des rĂšglements normatifs et de sĂ©curitĂ©. Ă  partirde ces donnĂ©es, i'Ă©lectrotechnicien doit ĂȘtre capable de dĂ©ter- miner les solutions technologiques Ă  adopter en fonction

PubliĂ© le 16 avril 2020 par Justine Debret. La vulgarisation scientifique permet de diffuser la culture scientifique au grand public. Pour consulter ou pour rĂ©diger un texte de vulgarisation scientifique, il est important de comprendre son fonctionnement. Dans cet article, nous vous expliquons tout ce qu’il faut savoir le rĂŽle de la vulgarisation scientifique, ses auteurs, ses techniques et sa rĂ©daction, le tout accompagnĂ© d’exemples ! Qu’est-ce que la vulgarisation scientifique ? La vulgarisation scientifique est une technique de transmission des savoirs qui implique plusieurs acteurs et des techniques de rĂ©daction spĂ©cifiques. Elle permet d’aborder des sujets scientifiques avec expertise Ă  travers un contenu comprĂ©hensible qui se distingue des autres textes scientifiques. La vulgarisation scientifique son rĂŽle Le principal objectif de la vulgarisation scientifique est de rendre la science accessible Ă  tous. Cette mission pĂ©dagogique appartient aux chercheurs et aux spĂ©cialistes. Pour cela, elle s’appuie sur des moyens de communication les plus frĂ©quemment utilisĂ©s sont les livres et les articles de revues. D’aprĂšs Le Petit Robert, la vulgarisation scientifique est le fait d’adapter un ensemble de connaissances techniques, scientifiques, de maniĂšre Ă  les rendre accessibles Ă  un lecteur non spĂ©cialiste ». En plus des ouvrages et des revues, la vulgarisation scientifique s’intĂšgre Ă  d’autres contenus. dans certaines Ă©missions de tĂ©lĂ©vision ; certaines vidĂ©os disponibles en ligne ; dans des musĂ©es destinĂ©s Ă  la science ; dans des cours publics et/ou en ligne. Comment reconnaĂźtre un article ou un ouvrage de vulgarisation scientifique ? Les articles et les livres de vulgarisation scientifique sont accessibles Ă  tous. Voici quelques conseils pour mieux les reconnaĂźtre parmi les autres types de contenus le contenu est bien dĂ©taillĂ©, les concepts et termes centraux sont dĂ©finis ; les dĂ©tails trĂšs spĂ©cifiques calculs, mĂ©thodologie peuvent ĂȘtre mentionnĂ©s mais sont rarement dĂ©veloppĂ©s ; l’éditeur de la revue ou du livre n’est pas toujours un Ă©diteur scientifique ; le sujet n’est pas trop pointu et il est susceptible d’intĂ©resser un grand nombre de personnes ; les articles de vulgarisation scientifique sont souvent accompagnĂ©s d’images directement insĂ©rĂ©es dans le texte. Qui rĂ©dige les articles de vulgarisation scientifique ? Les articles et ouvrages de vulgarisation scientifique peuvent ĂȘtre Ă©crits par plusieurs personnes. Des vulgarisateurs ces rĂ©dacteurs savent apprendre et transmettre des informations de maniĂšre efficace. Ils peuvent ĂȘtre de formation journalistique, d’anciens professeurs ou experts reconvertis dans le domaine de la vulgarisation scientifique. Des journalistes spĂ©cialisĂ©s ce sont des journalistes qui maĂźtrisent trĂšs bien certains domaines scientifiques. Des chercheurs et doctorants la recherche est leur activitĂ© principale et la vulgarisation scientifique leur permet de communiquer leurs dĂ©couvertes Ă  un plus large public. Le saviez-vous ? Le rĂŽle du vulgarisateur est parfois difficile dans certains domaines controverses, nuclĂ©aire, clonage, etc.. Dans ce cas, la vulgarisation peut prendre la forme d’une “mĂ©diation scientifique” il s’agit d’un dialogue pĂ©dagogique ouvert entre la science et la sociĂ©tĂ© afin de mieux traiter les sujets sensibles. Exemple d’auteurs et de revues de vulgarisation Voici quelques exemples d’auteurs de vulgarisation scientifique Bernadette Arnaud est journaliste dans la revue de vulgarisation Sciences et Avenir. C’est aussi une spĂ©cialiste dans le domaine de l’archĂ©ologie, de l’anthropologie et de l’histoire. Elle rĂ©dige des articles d’histoire et d’archĂ©ologie. Exemple d’article “Sur les traces d’un nouveau tombeau royal en Egypte” lire Jean-Paul Delahaye est rĂ©dacteur pour la revue de vulgarisation scientifique Pour la Science. C’est aussi un professeur Ă©mĂ©rite Ă  l’UniversitĂ© de Lille, et un chercheur au centre de recherche en informatique, signal et automatique de Lille CRISTAL. Il rĂ©dige des articles Ă  propos de la logique, du calcul et des mathĂ©matiques. Exemple d’article “Les secrets du nombre 42” lire Revue de vulgarisation scientifique ou revue scientifique ? La revue de vulgarisation scientifique est un type de revue scientifique. Elle se distingue des autres types de revues scientifiques car elle possĂšde certains critĂšres uniques. Voici les principaux critĂšres qui permettent de diffĂ©rencier les revues de vulgarisation scientifique avec les revues scientifiques revues purement scientifiques destinĂ©es Ă  la recherche CritĂšres Revue de vulgarisation scientifique Revue scientifique destinĂ©e Ă  la recherche Sujets traitĂ©s Sujet variĂ©s, souvent interdisciplinaires Sujets variĂ©s, concernant un seul sujet trĂšs prĂ©cis Public Tout public, nĂ©ophytes et passionnĂ©s Public spĂ©cialisĂ© qui connaĂźt dĂ©jĂ  le domaine Auteurs Journalistes spĂ©cialisĂ©s, experts ou chercheurs Chercheurs ou doctorants Diffusion Diffusion large presse, rĂ©seaux sociaux Diffusion dans des bases de donnĂ©es spĂ©cialisĂ©es Organisation Succession d’articles scientifiques souvent illustrĂ©s avec des images et des photos, et contenant parfois des rubriques dĂ©diĂ©es Ă  l’actualitĂ© Succession d’articles scientifiques Exemples pour diffĂ©rencier les deux types de revues Voici l’exemple de deux articles traitant du mĂȘme sujet. Le premier est publiĂ© dans une revue de vulgarisation scientifique, et le second dans une revue scientifique L’article “J’aimerais tant prouver Syracuse” est publiĂ© dans la revue de vulgarisation scientifique Pour la Science. Le sujet est prĂ©cis, l’auteur le replace dans son contexte, explique le principe. L’article “Algorithmes pour vĂ©rifier la conjecture de Syracuse” est publiĂ© dans la revue scientifique Informatique thĂ©orique et applications. Le sujet est moins prĂ©sentĂ©, les formulations mathĂ©matiques sont plus nombreuses. Comment Ă©crire un article ou ouvrage de vulgarisation ? Écrire un article ou un ouvrage de vulgarisation demande un certain savoir-faire il faut Ă  la fois maĂźtriser un sujet tout Ă©tant capable de le transmettre avec pĂ©dagogie. Trouver une revue de vulgarisation ou un Ă©diteur Beaucoup de livres et de revues de vulgarisation scientifiques sont disponibles en ligne. Certaines possĂšdent des spĂ©cialitĂ©s histoire, sciences, politique, etc.. En fonction du domaine que vous maĂźtrisez, cherchez les revues et/ou les maisons d’édition qui pourraient ĂȘtre intĂ©ressĂ©es par votre travail. Parfois, certaines revues lancent des “appels Ă  contribution” cela signifie qu’elles cherchent Ă  obtenir des articles sur un sujet prĂ©cis. Vous pouvez aussi chercher les thĂšmes peu traitĂ©s afin d’en faire des sujets d’articles ou d’ouvrages Ă  proposer aux Ă©diteurs. En plus des appels Ă  contribution et des candidatures spontanĂ©es, certains organismes proposent des contrats de professionnalisation ou recrutent des pigistes collaborateurs. Attention ! Pour Ă©crire de la vulgarisation scientifique, il est important de disposer d’un niveau d’expertise important. Les articles ou ouvrages de vulgarisation scientifique sont principalement rĂ©digĂ©s par des experts, des spĂ©cialistes ou des chercheurs. De plus, une formation journalistique ou une expĂ©rience dans les mĂ©tiers de la rĂ©daction est souvent apprĂ©ciĂ©e. Le style de rĂ©daction de la vulgarisation scientifique La vulgarisation consiste Ă  expliquer d’une maniĂšre pĂ©dagogique certaines informations parfois complexes. Pour rendre ces informations comprĂ©hensibles, un style clair et des phrases courtes sont des prĂ©requis nĂ©cessaires. La dĂ©marche scientifique doit ĂȘtre expliquĂ©e Ă  travers un raisonnement progressif. Le langage doit ĂȘtre adaptĂ© au niveau de comprĂ©hension des lecteurs, sans pour autant allĂ©ger l’information Ă  donner. La vulgarisation scientifique doit rendre l’information plus facile Ă  comprendre sans tomber dans les dĂ©rives de la simplification ou du sensationnalisme bien que difficile Ă  trouver, cet Ă©quilibre est essentiel ! Combien de fautes dans votre document ? Nos correcteurs corrigent en moyenne 150 fautes pour 1 000 mots. Vous vous demandez ce qui sera corrigĂ© exactement ? DĂ©placez le curseur de gauche Ă  droite ! Faites corriger votre document Liste de revues de vulgarisation scientifique Voici des exemples d’ouvrages de vulgarisation scientifique Une brĂšve histoire du temps de Stephen Hawking ce livre de vulgarisation scientifique Ă©crit par un astrophysicien traite de la cosmologie et des lois qui gouvernent l’univers. Apprendre Ă  vivre – traitĂ© de philosophie Ă  l’usage des jeunes gĂ©nĂ©rations de Luc Ferry ce livre vulgarise et retrace l’évolution des principales pensĂ©es philosophiques de l’AntiquitĂ© Ă  aujourd’hui. Voici des exemples de revues de vulgarisation scientifique La revue La Recherche couvre l’actualitĂ© scientifique internationale. La revue DĂ©couverte traite de nombreux sujets scientifiques. La revue La Hulotte est une revue naturaliste dont les sujets sont illustrĂ©s Ă  la main. Comment reconnaĂźtre un article ou un ouvrage de vulgarisation scientifique ? Voici quelques Ă©lĂ©ments pour mieux les reconnaĂźtre parmi les autres types de revues le contenu est bien dĂ©taillĂ©, les concepts et termes centraux sont dĂ©finis ; les dĂ©tails trop spĂ©cifiques calculs, matĂ©riels et mĂ©thodes peuvent ĂȘtre mentionnĂ©s mais pas dĂ©veloppĂ©s ; l’éditeur de la revue ou du livre n’est pas toujours un Ă©diteur scientifique ; le sujet n’est pas trop prĂ©cis et est susceptible d’intĂ©resser un grand nombre de personnes ; les articles de vulgarisation scientifique sont souvent accompagnĂ©s d’images directement insĂ©rĂ©es dans le texte. Comment Ă©crire un article ou un ouvrage de vulgarisation ? Écrire un article ou un ouvrage de vulgarisation demande un certain savoir-faire. Il faut Ă  la fois maĂźtriser un sujet, tout Ă©tant capable de le transmettre avec pĂ©dagogie. Pour pouvoir publier un contenu, plusieurs solutions existent rĂ©pondre Ă  un appel Ă  contribution ; envoyer une candidature spontanĂ©e ; Ă©tablir un contrat de professionnalisation ; rĂ©diger en tant que pigiste pour une revue. Cet article est-il utile ? Vous avez dĂ©jĂ  votĂ©. Merci - Votre vote est enregistrĂ© - Traitement de votre vote...

Lerapport scientifique et technique a pour objectif de présenter les résultats scientifiques obtenus au cours de l'année écoulée. Il ne prétend pas à l'exhaustivité, comme le rapport annuel, mais il privilégie les actions se rapportant à un programme terminé, ou ayant atteint une étape particuliÚrement importante de son développement. Le rapport 2007 couvre la période de mi
Équipement d’analyse gĂ©nĂ©rale Quantification, extraction, purification et concentration de composĂ©s phytochimiques protĂ©ines, lipides, glucides, etc. Profilage des phytohormones SpectromĂštre de masse XE MS/MS Micromass Quattro PremierMC de Waters et chromatographe liquide Ă  ultra haute performance ACQUITY de Waters avec systĂšme de gestion des Ă©chantillons Chromatographie en phase liquide Ă  ultra haute performance couplĂ©e Ă  la spectromĂ©trie de masse en tandem Ă  triple quadripĂŽle Profilage des phytohormones SystĂšme ICS-6000 de Dionex Chromatographie ionique Ă  haute performance Profilage des phytohormones Chromatographe liquide Ă  haute performance d’Agilent sĂ©rie 1100 avec collecteur de fractions Chromatographie en phase liquide Ă  haute performance Profilage des phytohormones Chromatographe liquide Ă  haute performance d’Agilent sĂ©rie 1200 avec collecteur de fractions Chromatographie en phase liquide Ă  haute performance SpectromĂ©trie de masse Plateforme de recherche en protĂ©omique 4800 MALDI TOF/TOF MS d’AB SCIEX SpectromĂ©trie de masse Ă  dĂ©sorption-ionisation par impact laser assistĂ©e par matrice couplĂ©e Ă  la spectromĂ©trie de masse en tandem du temps de vol SpectromĂ©trie de masse Micromass ProteomeWorks Spot Cutter de Bio-Rad en deux dimensions sur grand format RepĂ©rage, excision et chargement de points protĂ©iques sur des microplaques aprĂšs Ă©lectrophorĂšse bidimensionnelle sur gĂ©lose SpectromĂ©trie de masse SystĂšme de prĂ©paration CL/SM Micromass de Waters avec module automatisĂ© de digestion des protĂ©ines MassPREP RĂ©duction, alkylation et digestion automatisĂ©es de protĂ©ines sur microplaques de gĂ©lose SpectromĂ©trie de masse Poste de travail VISION d’Applied Biosystems Manipulation robotisĂ©e des Ă©chantillons pour la sĂ©paration des molĂ©cules organiques SpectromĂ©trie de masse SpectromĂštre de masse Q Exactive avec chromatographe liquide Ă  ultra haute performance Vanquish Flex de Thermo Fisher Chromatographie en phase liquide couplĂ©e Ă  un spectromĂštre de masse quadripĂŽle Ă  haute rĂ©solution Orbitrap de laboratoire SpectromĂ©trie de masse Chromatographe liquide et spectromĂštre de masse ZQ LC/MS S de Waters SystĂšme d’analyse par chromatographie en phase liquide et spectromĂ©trie de masse Ă  simple quadripĂŽle Laboratoires communs SystĂšme d’électrophorĂšse capillaire P/ACE MDQ Plus de SCIEX avec dĂ©tecteur SĂ©paration rapide et automatique d’échantillons complexes Laboratoires communs Chromatographe liquide Ă  haute performance d’Agilent sĂ©rie 1200 Chromatographie en phase liquide Ă  haute performance Laboratoires communs Chromatographe liquide Ă  haute performance pour la prĂ©paration d’échantillons d’Agilent sĂ©rie 1100 avec collecteur de fractions Chromatographie en phase liquide Ă  haute performance Laboratoires communs SystĂšme 6890 GC d’Agilent Chromatographie en phase gazeuse avec dĂ©tecteur Ă  ionisation de flamme Laboratoires communs SystĂšme 7890 GC d’Agilent Chromatographie en phase gazeuse avec dĂ©tecteur Ă  ionisation de flamme Laboratoires communs SystĂšme 6890 d’Agilent avec systĂšme d’échantillonnage automatique PAL3 pour l’analyse de l’espace de tĂȘte Chromatographie en phase gazeuse couplĂ©e Ă  la spectromĂ©trie de masse Laboratoires communs SystĂšme 7890 GC-MC d’Agilent Chromatographie en phase gazeuse couplĂ©e Ă  la spectromĂ©trie de masse Laboratoires communs SystĂšme de rĂ©sonance magnĂ©tique nuclĂ©aire MARAN ULTRA 23 de laboratoire d’Oxford Instruments Spectroscopie Ă  rĂ©sonance magnĂ©tique nuclĂ©aire RMN de laboratoire
Quelquesprincipes sur la conception et la maintenance des installations permettent de prĂ©venir ce risque (maĂźtrise de la tempĂ©rature, lutte contre le tartre et la corrosion, circulation rĂ©guliĂšre de l’eau). Les dangers liĂ©s aux lĂ©gionelles La « lĂ©gionelle » (nom scientifique Legionella) est une bactĂ©rie qui se dĂ©veloppe dans l’eau et les milieux humides (rĂ©seau d’eau chaude L'Avis Technique ATec L'Avis Technique est destinĂ© Ă  fournir, Ă  tous les participants Ă  l'acte de construire, une opinion autorisĂ©e sur les produits, procĂ©dĂ©s et Ă©quipements nouveaux, pour un emploi dĂ©fini. Il indique notamment dans quelles mesures le procĂ©dĂ© ou produit satisfait Ă  la rĂ©glementation en vigueur, est apte Ă  l'emploi en Ɠuvre, dispose d'une durabilitĂ© en service. ©CCFAT L'Avis Technique est attribuĂ© pour une durĂ©e de 2 Ă  7 ans. C'est un document renouvelable, modifiable et public. Il est dĂ©livrĂ© par la CCFAT, une Commission chargĂ©e de formuler les Avis Techniques, qui s'appuie sur l'instruction du dossier rĂ©alisĂ©e par le CSTB et sur les conclusions d'un groupe spĂ©cialisĂ© auquel participent des experts et industriels de la filiĂšre photovoltaĂŻque. Les dĂ©lais et les coĂ»ts d'instruction d'un dossier sont disponibles sur le site de la CCFAT dans la rubrique "Demander un ATEC". Le groupe spĂ©cialisĂ© n°21 est dĂ©diĂ© aux procĂ©dĂ©s photovoltaĂŻques, rĂ©partis en familles de produits classĂ©es par types de mise en oeuvre sur le bĂątiment. Les listes minimales des Ă©lĂ©ments de preuve demandĂ©s pour l'instruction d'un Avis technique photovoltaĂŻque sont tĂ©lĂ©chargeables sur le site de la CCFAT notes de calcul, rapports d'essais, nombre de m2 installĂ©s et liste de chantiers, conformitĂ© aux normes Ă©lectriques des produits, notice et prĂ©conisations de montage, et tout Ă©lĂ©ment de description du produit.... À titre d'information, la CCFAT prĂ©cise sur son site que le terme Avis Technique peut dĂ©signer indiffĂ©remment l'Avis Technique lorsque les produits ou procĂ©dĂ©s ne font pas l'objet d'un marquage CE, ou le Document Technique d'Application DTA dans le cas contraire. Pour obtenir la liste et le texte intĂ©gral des avis techniques en cours de validitĂ©, veuillez consulter le site internet du CSTB dĂ©diĂ© Ă  l'Ă©valuation lien en bas de page. Pour une vision synthĂ©tique du contenu de ces avis techniques, vous pouvez consulter les fiches rĂ©capitulatives Ă©ditĂ©es par le Groupement des MĂ©tiers du PhotovoltaĂŻque GMPV sur le site lien en bas de page. L'ApprĂ©ciation Technique d'ExpĂ©rimentation ATEx L'ATEx est une procĂ©dure rapide d'Ă©valuation technique formulĂ©e par le CSTB sur tout procĂ©dĂ© ne faisant pas encore l'objet d'un Avis technique, afin de faciliter la prise en compte de l'innovation dans la construction. ©CSTB Elle permet de faciliter l'intĂ©gration des expĂ©rimentations dans la construction, de favoriser l'identification des risques et leur prĂ©vention en permettant aux assureurs et aux contrĂŽleurs techniques de les prendre en compte en connaissance de cause et de maniĂšre Ă©quilibrĂ©e, d'inciter les maĂźtres d'ouvrage Ă  favoriser l'expĂ©rimentation. Le CSTB a dĂ©jĂ  formulĂ© plusieurs ATEx pour des procĂ©dĂ©s photovoltaĂŻques installĂ©s sur des bĂątiments particuliers, en gĂ©nĂ©ral des chantiers expĂ©rimentaux. La liste exhaustive des ATEx favorables cas a peut ĂȘtre consultĂ©e sur le site internet du CSTB dĂ©diĂ© Ă  l'Ă©valuation lien en bas de page. Le Pass'Innovation Depuis le 1er septembre 2017, il ne peut plus ĂȘtre fait appel Ă  la procĂ©dure d'Ă©valuation Pass'Innovation. uneprĂ©occupation partagĂ©e analyse de la sĂ»retĂ© d’une installation nuclĂ©aire (ou d’une installation industrielle) est par nature un questionnement sur la validitĂ© des arguments qui sont avancĂ©s par l’industriel concernĂ© pour justifier la conception et les modalitĂ©s d’exploitation de cette installation. Ce questionnement met rĂ©guliĂšrement en Ă©vidence des «zones d’ombre RĂ©sumĂ© de la prĂ©sentation technique donnĂ©e dans le cadre de la ConfĂ©rence sur l’information rĂ©glementaire RIC 2018 du NRC des États-Unis Le 14 mars 2018 Auteur Neb Orbovic Commission canadienne de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire RĂ©sumĂ© Le dossier de proposition d’activitĂ© du CSIN CAPS de l’ASCET est une activitĂ© de recherche visant Ă  formuler des recommandations gĂ©nĂ©rales Ă  l’égard de la gestion du vieillissement des installations nuclĂ©aires en bĂ©ton, en tenant compte de l’effet des pathologies du bĂ©ton sur la dĂ©gradation structurale. Des outils numĂ©riques fiables sont nĂ©cessaires pour prĂ©dire, en fonction du temps, le comportement des structures soumises aux mĂ©canismes de dĂ©gradation du bĂ©ton afin d’évaluer et de quantifier leurs Ă©tats-limites de service dĂ©finitifs. Le programme pluriannuel d’ASCET comprend trois phases visant Ă  mettre au point les outils suivants phase I traiter l’orientation gĂ©nĂ©rale Ă  l’égard des besoins en matiĂšre de gestion du vieillissement et de recherche achevĂ©e phase II rĂ©aliser une analyse comparative numĂ©rique Ă  l’aveugle achevĂ©e phase III ajuster et perfectionner les outils numĂ©riques Ă  l’aide de rĂ©sultats d’essais additionnels en cours L’analyse comparative Ă©tait fondĂ©e sur les essais sur des parois rĂ©alisĂ©s Ă  l’UniversitĂ© de Toronto dans le cadre d’un programme de recherche de la CCSN. Les rĂ©sultats d’essais visant deux ensembles de deux parois pour chaque ensemble, l’une des parois Ă©tant intacte et l’autre, soumise Ă  une rĂ©action silico-alcaline d’ñges diffĂ©rents ont Ă©tĂ© fournis pour cette analyse comparative. Les rĂ©sultats d’analyse de la phase II de l’ASCET Ă©taient principalement axĂ©s sur la capacitĂ© de rĂ©sistance des parois. Cette capacitĂ© a Ă©tĂ© prĂ©vue de maniĂšre efficace par tous les participants. La prochaine phase planifiĂ©e de l’analyse comparative de l’ASCET devrait ĂȘtre axĂ©e sur l’évaluation de ce qui suit les dĂ©placements, les dĂ©formations, les modes de dĂ©faillance ainsi que les configurations, la largeur et la distribution des fissures. Une nouvelle phase de l’analyse comparative de l’ASCET, la phase III, est en cours, et le prochain atelier au lieu les 16 et 17 avril 2018 Ă  Paris par l’Agence pour l’énergie nuclĂ©aire de l’Organisation de coopĂ©ration et de dĂ©veloppement Ă©conomiques AEN de l’OCDE. Pour obtenir une copie du document du rĂ©sumĂ©, veuillez communiquer avec nous ou en composant le 613-995-5894 ou le 1-800-668-5284 au Canada. Veuillez nous indiquer le titre et la date du rĂ©sumĂ©. DerniĂšre mise Ă  jour 2018-08-15 Sil'État juge leur intĂ©rĂȘt scientifique et leur Ă©tat de conservation suffisants, il peut dĂ©cider de la rĂ©alisation d'une fouille archĂ©ologique ou de la modification du projet d'amĂ©nagement. Le diagnostic a rĂ©vĂ©lĂ© la prĂ©sence de vestiges exceptionnels devant ĂȘtre conservĂ©s in situ : l'État demande Ă  l'amĂ©nageur de les intĂ©grer dans son projet d'amĂ©nagement.
ANNEXEPRESCRIPTIONS GÉNÉRALES APPLICABLES AUX INSTALLATIONS CLASSÉES POUR LA PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT SOUMISES À AUTORISATION AU TITRE DES RUBRIQUES 3700 OU 3710 POUR LESQUELLES LA CHARGE POLLUANTE PRINCIPALE PROVIENT D'UNE OU PLUSIEURS INSTALLATIONS RELEVANT DE LA RUBRIQUE 37001. DĂ©finitions et acronymesAu sens du prĂ©sent arrĂȘtĂ©, on entend par Terme utilisĂ©DĂ©finitionChromeLe chrome, exprimĂ© en Cr, comprend tous les composĂ©s inorganiques et organiques du chrome, dissous ou liĂ©s Ă  des organiqueTout composĂ© contenant au moins l'Ă©lĂ©ment carbone et un ou plusieurs des Ă©lĂ©ments suivants hydrogĂšne, halogĂšnes, oxygĂšne, soufre, phosphore, silicium ou azote, Ă  l'exception des oxydes de carbone et des carbonates et bicarbonates de type CType de crĂ©osote dont les spĂ©cifications figurent dans la norme NF EN 13991 1.Eaux de ruissellementEaux de pluie qui s'Ă©coulent sur des sols ou des surfaces impermĂ©ables telles que les voiries internes, les zones de stockage, les toits, etc. et qui ne s'infiltrent pas dans le gazeuxLe gaz qui se dĂ©gage d'un procĂ©dĂ©, d'un Ă©quipement ou d'une zone et qui est soit dirigĂ© vers un traitement, soit directement Ă©vacuĂ© dans l'air par une rĂ©siduairesRejet gazeux final contenant des composĂ©s organiques volatils ou d'autres polluants et rejetĂ© dans l'air par une cheminĂ©e ou d'autres Ă©quipements de en continuMesures rĂ©alisĂ©es Ă  l'aide d'un systĂšme de mesure automatisĂ© installĂ© Ă  demeure sur le site aux fins de la surveillance continue des Ă©missions norme NF EN 14181 1.Moyenne horaire ou demi-horaire valideUne moyenne horaire ou demi-horaire est considĂ©rĂ©e comme valide en l'absence de toute maintenance ou de tout dysfonctionnement du systĂšme de mesure de gestion des solvantsBilan massique des solvants, effectuĂ© au moins une fois par an, visĂ© Ă  l'article 28-1 de l'arrĂȘtĂ© du 2 fĂ©vrier 1998 modifiĂ© du boisActivitĂ©s destinĂ©es Ă  protĂ©ger le bois et les produits dĂ©rivĂ©s du bois contre les attaques de champignons, de bactĂ©ries ou d'insectes et les dĂ©gĂąts causĂ©s par l'eau, les intempĂ©ries ou le feu, Ă  garantir la conservation Ă  long terme de l'intĂ©gritĂ© structurelle, ainsi qu'Ă  renforcer la rĂ©sistance du bois et des produits dĂ©rivĂ©s du Ă  base aqueuseType des produits chimiques utilisĂ©s pour le traitement du bois ou des produits dĂ©rivĂ©s du bois dans lesquels l'eau remplace tout ou partie du solvant Ă  base de solvants organiquesType des produits chimiques utilisĂ©s pour le traitement du bois ou des produits dĂ©rivĂ©s du chimiques de traitementProduits chimiques utilisĂ©s pour la prĂ©servation du bois et des produits dĂ©rivĂ©s du bois, tels que les produits biocides, les produits chimiques utilisĂ©s pour l'impermĂ©abilisation par exemple, huiles, Ă©mulsions et les retardateurs de flamme. Incluent Ă©galement le milieu de suspension qui transporte les substances actives par exemple, eau, solvant organique.Solvant organiqueTout composĂ© organique volatil utilisĂ© pour l'un des usages suivants a seul ou en association avec d'autres agents, sans subir de modification chimique, pour dissoudre des matiĂšres premiĂšres, des produits ou des dĂ©chets ;b comme agent de nettoyage pour dissoudre des salissures ;c comme dissolvant ;d comme dispersant ;e comme correcteur de viscositĂ© ;f comme correcteur de tension superficielle ;g comme plastifiant ;h comme agent majeure d'une unitĂ©Modification profonde de la conception ou de la technologie d'une unitĂ©, avec adaptations majeures ou remplacement des procĂ©dĂ©s et/ou des techniques de rĂ©duction des Ă©missions et des Ă©quipements partie d'une installation dans laquelle se dĂ©roule une activitĂ© Ă©numĂ©rĂ©e Ă  l'annexe I, point de la directive 2010/75/UE et toute autre activitĂ© directement associĂ©e ayant un effet sur la consommation et/ou les Ă©missions. Il peut s'agir d'unitĂ©s nouvelles ou d'unitĂ©s existanteUne unitĂ© qui n'est pas une unitĂ© nouvelleUne unitĂ© autorisĂ©e pour la premiĂšre fois sur le site de l'installation aprĂšs le 9 dĂ©cembre 2020, ou le remplacement complet d'une unitĂ© aprĂšs le 9 dĂ©cembre sensibleZone nĂ©cessitant une protection spĂ©ciale, telles que - Les zones rĂ©sidentielles ;- Les zones oĂč se dĂ©roulent des activitĂ©s humaines par exemple, lieux de travail, Ă©coles, garderies, zones de loisirs, hĂŽpitaux ou maisons de repos situĂ©s Ă  proximitĂ©.1 Les normes NF EN sont rĂ©putĂ©es permettre l'obtention de donnĂ©es d'une qualitĂ© scientifique de organique volatil. Tout composĂ© organique ainsi que la fraction de crĂ©osote ayant une pression de vapeur de 0,01 kPa ou plus Ă  une tempĂ©rature de 293,15 K ou ayant une volatilitĂ© correspondante dans les conditions d'utilisation organique volatil total, exprimĂ© en C dans l'air.HAPHydrocarbures aromatiques Research Centre. Centre commun de recherche scientifique et technique de l'Union d'azote somme du monoxyde d'azote NO et du dioxyde d'azote NO2, exprimĂ©e en sur les produits biocides [rĂšglement UE n° 528/2012 du Parlement europĂ©en et du Conseil du 22 mai 2012 concernant la mise Ă  disposition sur le marchĂ© et l'utilisation des produits biocides].SMESystĂšme de management limite d' Evaluation des Ă©missions dans les effluents gazeuxLes valeurs limites d'Ă©missions pour les Ă©missions sous forme de gaz rĂ©siduaires rĂ©sultant des procĂ©dĂ©s de traitement Ă  base de crĂ©osote et/ou de produits chimiques Ă  base solvantĂ©e indiquĂ©es au point 14 dĂ©signent des concentrations, exprimĂ©es en masse de substances Ă©mises par volume de gaz rĂ©siduaire dans les conditions standard suivantes gaz secs Ă  une tempĂ©rature de 273,15 K et Ă  une pression de 101,3 kPa, sans correction pour la teneur en oxygĂšne, concentrations exprimĂ©es en mg/ ce qui concerne les pĂ©riodes d'Ă©tablissement des valeurs moyennes des valeurs limites d'Ă©missions pour les Ă©missions sous forme de gaz rĂ©siduaires, les dĂ©finitions suivantes s' de mesurePĂ©riode d'Ă©tablissement de la moyenneDĂ©finitionEn continuMoyenne journaliĂšreMoyenne sur un jour calculĂ©e Ă  partir des moyennes horaires ou demi-horaires validesPĂ©riodiqueMoyenne sur la pĂ©riode d'Ă©chantillonnageValeur moyenne de trois mesures consĂ©cutives d'au moins 30 minutes chacune 11 Si, en raison de contraintes liĂ©es Ă  l'Ă©chantillonnage ou Ă  l'analyse et/ou du fait des conditions d'exploitation, un Ă©chantillonnage/une mesure de 30 minutes et/ou une moyenne de trois mesures consĂ©cutives ne conviennent pas pour un paramĂštre, quel qu'il soit, une pĂ©riode d'Ă©chantillonnage/de mesurage plus appropriĂ©e peut ĂȘtre SystĂšme de management environnementalL'exploitant met en place et applique un systĂšme de management environnemental SME appropriĂ© prĂ©sentant toutes les caractĂ©ristiques suivantes i. Engagement, initiative et responsabilitĂ© de l'encadrement, y compris de la direction, en ce qui concerne la mise en Ɠuvre d'un SME Analyse visant notamment Ă  dĂ©terminer le contexte dans lequel s'insĂšre l'organisation, Ă  recenser les besoins et les attentes des parties intĂ©ressĂ©es, Ă  mettre en Ă©vidence les caractĂ©ristiques de l'installation qui sont associĂ©es Ă  d'Ă©ventuels risques pour l'environnement ou la santĂ© humaine, ainsi qu'Ă  dĂ©terminer les exigences lĂ©gales applicables en matiĂšre d' DĂ©finition d'une politique environnementale intĂ©grant le principe d'amĂ©lioration continue des performances environnementales de l' DĂ©finition d'objectifs et d'indicateurs de performance pour les aspects environnementaux importants, y compris pour garantir le respect des exigences lĂ©gales Planification et mise en Ɠuvre des procĂ©dures et actions nĂ©cessaires y compris les actions correctives et prĂ©ventives si nĂ©cessaire pour atteindre les objectifs environnementaux et Ă©viter les risques DĂ©termination des structures, des rĂŽles et des responsabilitĂ©s en ce qui concerne les aspects et objectifs environnementaux et la mise Ă  disposition des ressources financiĂšres et humaines Garantir par exemple, par l'information et la formation la compĂ©tence et la sensibilisation requises du personnel dont le travail est susceptible d'avoir une incidence sur les performances environnementales de l' Communication interne et Inciter les travailleurs Ă  s'impliquer dans les bonnes pratiques de management Etablissement et tenue Ă  jour d'un manuel de gestion et de procĂ©dures Ă©crites pour superviser les activitĂ©s ayant un impact significatif sur l'environnement, ainsi que de registres Planification opĂ©rationnelle et contrĂŽle des procĂ©dĂ©s Mise en Ɠuvre de programmes de maintenance Protocoles de prĂ©paration et de rĂ©action aux situations d'urgence, y compris la prĂ©vention ou l'attĂ©nuation des incidences environnementales dĂ©favorables des situations d' Lors de la reconception d'une nouvelle installation ou d'une partie d'installation, prise en considĂ©ration de ses incidences sur l'environnement sur l'ensemble de son cycle de vie, qui inclut la construction, l'entretien, l'exploitation et la mise Ă  l'arrĂȘt Mise en Ɠuvre d'un programme de surveillance et de mesurage ; si nĂ©cessaire, des informations peuvent ĂȘtre obtenues dans le rapport de rĂ©fĂ©rence du JRC relatif Ă  la surveillance des Ă©missions dans l'air et dans l'eau provenant des installations relevant de la directive sur les Ă©missions RĂ©alisation rĂ©guliĂšre d'une analyse comparative des Audits indĂ©pendants internes dans la mesure du possible et externes rĂ©alisĂ©s pĂ©riodiquement pour Ă©valuer les performances environnementales et dĂ©terminer si le SME respecte les modalitĂ©s prĂ©vues et a Ă©tĂ© correctement mis en Ɠuvre et tenu Ă  Evaluation des causes de non-conformitĂ©, mise en Ɠuvre de mesures correctives pour remĂ©dier aux non-conformitĂ©s, examen de l'efficacitĂ© des actions correctives et dĂ©termination de l'existence ou non de cas de non-conformitĂ© similaires ou de cas Revue pĂ©riodique, par la direction, du SME et de sa pertinence, de son adĂ©quation et de son Suivi et prise en considĂ©ration de la mise au point de techniques plus Prise en compte de l'Ă©volution des produits biocides et de la lĂ©gislation s'y rapportant par exemple en ce qui concerne l'autorisation des produits en vertu du RPB en vue d'utiliser les procĂ©dĂ©s les plus respectueux de l' Etablissement d'un plan de gestion des solvants pour le traitement Ă  base de solvants et le traitement Ă  la crĂ©osote [cf. technique c du point 5].xxiii. Etablissement d'une liste de tous les procĂ©dĂ©s et Ă©quipements de rĂ©duction des Ă©missions qui sont critiques sur le plan environnemental dont la dĂ©faillance pourrait avoir une incidence sur l'environnement [cf. technique c du point 12]. La liste des Ă©quipements critiques est tenue Ă  Etablissement de plans de prĂ©vention et de contrĂŽle des fuites et des dĂ©versements, y compris de lignes directrices en matiĂšre de gestion des dĂ©chets pour la maĂźtrise des dĂ©chets rĂ©sultant de dĂ©versements [cf. point 12].xxv. Enregistrement des fuites et dĂ©versements accidentels, et plans d'amĂ©lioration contre-mesures.Le niveau de dĂ©tail et le degrĂ© de formalisation du systĂšme de management de l'environnement sont proportionnĂ©s Ă  la nature, la taille et la complexitĂ© de l'installation ainsi qu'aux diffĂ©rentes incidences environnementales installations dont le systĂšme de management environnemental a Ă©tĂ© certifiĂ© pour le pĂ©rimĂštre de l'installation conforme Ă  la norme internationale NF EN ISO 14001 ou au rĂšglement CE n° 1221/2009 du Parlement europĂ©en et du Conseil du 25 novembre 2009 concernant la participation volontaire des organisations Ă  un systĂšme communautaire de management environnemental et d'audit EMAS par un organisme accrĂ©ditĂ© sont rĂ©putĂ©es conformes Ă  ces Remplacement des substances nocives et/ou PrĂ©vention et rĂ©duction des Ă©missions de HAP et/ou de solvants et rĂ©duction du risque pour l'environnement liĂ© Ă  l'utilisation de produits chimiques de traitementL'exploitant remplace les produits de prĂ©servation Ă  base de solvants organiques et/ou la crĂ©osote par des produits de prĂ©servation Ă  base aqueuse l'eau tenant lieu de transporteur pour les biocides.L'exploitant remplace les produits chimiques par des produits moins dangereux, sur la base d'un contrĂŽle rĂ©gulier au moins une fois par an visant Ă  vĂ©rifier si de nouveaux produits plus sĂ»rs sont Ă©tablit la liste et le descriptif des produits de ces techniques peut ĂȘtre limitĂ©e par les exigences de qualitĂ© ou les spĂ©cifications du produit. Dans ce cas, l'exploitant tient Ă©galement Ă  la disposition de l'inspection des installations classĂ©es les justificatifs correspondants ainsi que le rĂ©sultat des Utilisation de crĂ©osoteL'utilisation de procĂ©dĂ©s Ă  base de crĂ©osote est interdite, Ă  l'exception des seules activitĂ©s autorisĂ©es dans les autorisations de mise sur le marchĂ© accordĂ©es par l'ANSES dans le cadre de la rĂ©glementation sur les produits les procĂ©dĂ©s Ă  base de crĂ©osote Ă  l'origine d'Ă©missions atmosphĂ©riques de composĂ©s organiques et d'odeurs, l'exploitant utilise des huiles d'imprĂ©gnation Ă  faible volatilitĂ© crĂ©osote de type C uniquement.5. Utilisation efficace des ressourcesL'exploitant rĂ©duit la consommation de produits chimiques en utilisant toutes les techniques Ă©numĂ©rĂ©es d'un systĂšme efficace d'application des produits de prĂ©servationLes systĂšmes d'application dans lesquels le bois est immergĂ© dans la solution de prĂ©servation sont plus efficaces que, par exemple, la pulvĂ©risation. L'efficacitĂ© d'application des procĂ©dĂ©s sous vide systĂšme fermĂ© est proche de 100 %. Le choix du systĂšme d'application tient compte de la classe d'utilisation et du niveau de pĂ©nĂ©tration applicable aux unitĂ©s nouvelles ou aux transformations majeures d' et optimisation de la consommation des produits chimiques de traitement pour l'utilisation finale spĂ©cifiqueContrĂŽle et optimisation de la consommation des produits chimiques de traitement - Soit par pesage du bois ou des produits dĂ©rivĂ©s du bois avant et aprĂšs imprĂ©gnation ;- Soit par dĂ©termination de la quantitĂ© de solution de prĂ©servation pendant et aprĂšs l' consommation des produits chimiques de traitement respecte les recommandations des fournisseurs et n'entraĂźne pas de dĂ©passement des valeurs prescrites en matiĂšre de rĂ©tention fixĂ©es dans les normes de qualitĂ© des produits.Applicable d'une maniĂšre de gestion des solvantsBilan massique, Ă©tabli au moins une fois par an, des solvants organiques Ă  l'entrĂ©e et Ă  la sortie d'une unitĂ©, visĂ© Ă  l'article 28-1 de l'arrĂȘtĂ© du 2 fĂ©vrier 1998 modifiĂ© susvisĂ©, quelle que soit la quantitĂ© de solvant applicable aux unitĂ©s utilisant des produits chimiques de traitement Ă  base de solvants organiques ou de la et rectification de l'humiditĂ© du bois avant traitementL'humiditĂ© du bois est mesurĂ©e avant traitement par exemple, par dĂ©termination de la rĂ©sistance Ă©lectrique ou par pesĂ©e et rectifiĂ©e si nĂ©cessaire par exemple, par sĂ©chage supplĂ©mentaire du bois, afin d'optimiser le processus d'imprĂ©gnation et de garantir la qualitĂ© requise des applicable lorsque du bois prĂ©sentant un taux d'humiditĂ© spĂ©cifique est RĂ©duction des Ă©missions rĂ©sultant de la livraison, du stockage et de la manutention des produits chimiques de traitementL'exploitant applique la technique a ou b et toutes les techniques c Ă  f indiquĂ©es de refoulement des vapeurs vers la cuve ou la citerne du camionLes vapeurs de solvant organique ou de crĂ©osote qui sont refoulĂ©es Ă  l'extĂ©rieur du rĂ©servoir de rĂ©ception lors du remplissage de celui-ci sont collectĂ©es et renvoyĂ©es dans la cuve ou la citerne du camion d'oĂč le liquide est de rĂ©cupĂ©ration des vapeursLes vapeurs de solvant organique ou de crĂ©osote qui sont refoulĂ©es Ă  l'extĂ©rieur du rĂ©servoir de rĂ©ception lors du remplissage de celui-ci sont collectĂ©es et dirigĂ©es vers un dispositif de traitement comme un filtre Ă  charbon actif ou une unitĂ© d'oxydation visant Ă  rĂ©duire les pertes par Ă©vaporation dues Ă  l'Ă©chauffement des produits chimiques stockĂ©sLorsque l'exposition Ă  la lumiĂšre du soleil est susceptible d'entraĂźner l'Ă©vaporation des solvants et de la crĂ©osote stockĂ©s dans des cuves de stockage en surface, celles-ci sont abritĂ©es sous un toit ou revĂȘtues d'une peinture de couleur claire afin de limiter l'Ă©chauffement des solvants et de la des points de distributionLes points de distribution desservant les rĂ©servoirs de stockage situĂ©s Ă  l'intĂ©rieur de la zone de rĂ©tention sont sĂ©curisĂ©s et mis Ă  l'arrĂȘt lorsqu'ils ne sont pas de prĂ©vention des dĂ©bordements lors du pompageIl s'agit notamment de veiller Ă  ce que - L'opĂ©ration de pompage soit supervisĂ©e ;- Pour les grandes quantitĂ©s, les rĂ©servoirs de stockage en vrac sont Ă©quipĂ©s d'avertisseurs acoustiques et/ou optiques de niveau haut, ainsi que de systĂšmes d'arrĂȘt si de stockage fermĂ©sUtilisation de rĂ©servoirs de stockage fermĂ©s pour les produits chimiques de RĂ©duction de la consommation de produits chimiques et d'Ă©nergie ainsi que des Ă©missions de produits chimiques de traitement dans la prĂ©paration et le conditionnement du boisL'exploitant optimise la charge en bois de la cuve de traitement et Ă©vite le piĂ©geage des produits chimiques de traitement par l'application d'une combinaison des techniques indiquĂ©es du bois en paquets au moyen d'entretoisesLes entretoises sont placĂ©es Ă  intervalles rĂ©guliers dans les paquets afin de faciliter la circulation des produits chimiques et leur Ă©gouttage aprĂšs d'une maniĂšre des paquets de bois dans les cuves de traitement horizontales classiquesLes paquets de bois sont inclinĂ©s dans la cuve de traitement afin de faciliter la circulation des produits chimiques et leur Ă©gouttage aprĂšs d'une maniĂšre d'autoclaves inclinablesL'ensemble de l'autoclave est inclinĂ© Ă  l'issue du traitement de telle sorte que les produits chimiques en excĂšs s'Ă©coulent facilement et puissent ĂȘtre rĂ©cupĂ©rĂ©s Ă  la base de l' applicable aux unitĂ©s nouvelles ou aux transformations majeures d' optimisĂ© des piĂšces de bois façonnĂ©esLes piĂšces de bois façonnĂ©es sont positionnĂ©es de maniĂšre Ă  empĂȘcher le piĂ©geage des produits chimiques de d'une maniĂšre des paquets de boisLes paquets de bois sont arrimĂ©s Ă  l'intĂ©rieur de la cuve de traitement afin de limiter le dĂ©placement de piĂšces de bois qui risqueraient de modifier la structure du paquet et de rĂ©duire l'efficacitĂ© de l' d'une maniĂšre de la charge en boisLa charge en bois de la cuve de traitement est optimisĂ©e de maniĂšre Ă  obtenir le meilleur rapport entre le bois Ă  traiter et les produits chimiques de d'une maniĂšre PrĂ©vention et rĂ©duction des fuites et Ă©missions et rĂ©duction de la consommation d'Ă©nergie dans les procĂ©dĂ©s d'application des produits de PrĂ©vention des fuites et des Ă©missions accidentelles de produits chimiques de traitement lors des procĂ©dĂ©s non rĂ©alisĂ©s sous pressionPour les procĂ©dĂ©s non rĂ©alisĂ©s sous pression, l'exploitant applique une des techniques Ă©numĂ©rĂ©es de traitement Ă  double paroi munies de dispositifs automatiques de dĂ©tection des fuitesbCuves de traitement Ă  paroi simple, Ă©quipĂ©es d'un systĂšme de rĂ©tention de taille suffisante 1 et rĂ©sistant aux produits de prĂ©servation du bois, d'un carter de protection et d'un dispositif de dĂ©tection automatique des fuites1 Le systĂšme de rĂ©tention dispose d'un volume au moins Ă©gal Ă  la plus grande des deux valeurs suivantes - 100 % de la capacitĂ© de la plus grande cuve de traitement ;- 50 % de la capacitĂ© totale des cuves de traitement RĂ©duction des Ă©missions d'aĂ©rosols dues Ă  la prĂ©servation du bois et des produits dĂ©rivĂ©s du bois au moyen de produits chimiques Ă  base aqueusePour les procĂ©dĂ©s de pulvĂ©risation rĂ©alisĂ©s au moyen de produits chimiques Ă  base aqueuse, l'exploitant confine les procĂ©dĂ©s de pulvĂ©risation, recueille les rĂ©sidus de pulvĂ©risation et les rĂ©utilise pour la prĂ©paration de la solution de prĂ©servation du PrĂ©vention et rĂ©duction des Ă©missions de produits chimiques de traitement dues aux procĂ©dĂ©s rĂ©alisĂ©s sous pressionPour les procĂ©dĂ©s rĂ©alisĂ©s sous pression autoclaves, l'exploitant applique toutes les techniques indiquĂ©es de sĂ©curitĂ© permettant d'empĂȘcher la mise en route du procĂ©dĂ© tant que la porte de l'autoclave n'est pas hermĂ©tiquement fermĂ©eLa porte de l'autoclave est hermĂ©tiquement fermĂ©e dĂšs que le bois est chargĂ© et avant que le traitement ne dĂ©bute. Des systĂšmes automatiques sont prĂ©vus pour empĂȘcher la mise en route de l'autoclave si la porte n'est pas hermĂ©tiquement de sĂ©curitĂ© permettant d'empĂȘcher l'ouverture de l'autoclave lorsqu'il est sous pression et/ou rempli de la solution de prĂ©servationDes dispositifs de sĂ©curitĂ© affichent la pression et indiquent si du liquide est prĂ©sent dans l'autoclave. Ils empĂȘchent l'ouverture de l'autoclave tant qu'il est sous pression et/ou de verrouillage de la porte de l'autoclaveLa porte de l'autoclave est Ă©quipĂ©e d'un systĂšme de verrouillage destinĂ© Ă  empĂȘcher l'Ă©coulement des liquides dans le cas oĂč il faudrait ouvrir la porte en urgence. Le systĂšme de verrouillage permet l'ouverture partielle de la porte pour libĂ©rer la pression tout en empĂȘchant l'Ă©coulement des et maintenance des soupapes de sĂ©curitĂ©Les autoclaves sont Ă©quipĂ©s de soupapes de sĂ©curitĂ© pour les protĂ©ger d'une pression excessive. L'air rejetĂ© par les soupapes est dirigĂ© vers un rĂ©servoir de capacitĂ© suffisante. Les soupapes de sĂ©curitĂ© sont inspectĂ©es au moins une fois tous les 6 mois Ă  la recherche de signes de corrosion, de contamination ou de montage incorrect et sont nettoyĂ©es et/ou rĂ©parĂ©es selon les tient Ă  la disposition de l'inspection des installations classĂ©es la liste et la localisation des soupapes concernĂ©es ainsi que le rĂ©sultat des inspections et des suites qui y sont des Ă©missions dans l'air provenant de l'Ă©chappement de la pompe Ă  videL'air extrait des autoclaves par l'orifice de refoulement de la pompe Ă  vide est des Ă©missions dans l'air lors de l'ouverture de l'autoclaveUn temps d'attente suffisant est observĂ© entre la dĂ©pressurisation et l'ouverture de l'autoclave afin de permettre l'Ă©gouttage du bois et la condensation des d'un vide final pour Ă©liminer l'excĂšs de produits chimiques Ă  la surface du bois traitĂ©Pour Ă©viter l'Ă©gouttage, un vide final est appliquĂ© dans l'autoclave avant ouverture afin d'Ă©liminer les produits chimiques en excĂšs Ă  la surface du bois traitĂ©. L'application d'un vide final peut ne pas ĂȘtre nĂ©cessaire si l'Ă©limination de l'excĂšs de produits chimiques peut ĂȘtre obtenue par l'application d'un vide initial RĂ©duction de la consommation d'Ă©nergie dans les procĂ©dĂ©s rĂ©alisĂ©s sous pressionL'exploitant utilise une pompe Ă  dĂ©bit variable afin que le systĂšme de traitement consomme moins d'Ă©nergie une fois la pression de service requise atteinte. L'applicabilitĂ© peut ĂȘtre limitĂ©e dans le cas des procĂ©dĂ©s pour lesquels la pression Limitation des dĂ©versements de produits de prĂ©servation du bois dans l'environnementL'exploitant installe une vanne de sectionnement ou un dispositif analogue au niveau des rejets de son rĂ©seau d'eaux PrĂ©vention et rĂ©duction de la contamination du sol et des eaux souterraines due Ă  l'entreposage provisoire de bois fraĂźchement traitĂ© conditionnement post-traitement et stockage provisoireL'exploitant laisse le bois traitĂ© s'Ă©goutter pendant un laps de temps suffisant aprĂšs le traitement afin de permettre aux produits chimiques en excĂšs de s'Ă©goutter Ă  l'intĂ©rieur de la cuve de ne sort le bois traitĂ© de la zone de rĂ©tention qu'une fois qu'il ne constate plus d'Ă©gouttement de la solution de traitement et que le bois est sec au Gestion des RĂ©duction de la quantitĂ© de dĂ©chets Ă  Ă©liminerL'exploitant applique les techniques a et b et une des techniques c et d, ou les deux, indiquĂ©es des dĂ©bris avant traitementLes dĂ©bris sont Ă©liminĂ©s de la surface du bois ou des produits dĂ©rivĂ©s du bois avant et rĂ©utilisation des cires et des huilesLorsque des cires ou des huiles sont utilisĂ©es pour l'imprĂ©gnation, les cires ou huiles en excĂšs provenant des procĂ©dĂ©s d'imprĂ©gnation sont rĂ©cupĂ©rĂ©es et en grandes quantitĂ©s des produits chimiques de traitementLivraison des produits chimiques de traitement dans des cuves afin de rĂ©duire la quantitĂ© d' de conteneurs rĂ©utilisablesLes conteneurs rĂ©utilisables utilisĂ©s pour les produits chimiques de traitement sont restituĂ©s au fournisseur en vue de leur RĂ©duction du risque environnemental liĂ© Ă  la gestion des dĂ©chetsL'exploitant stocke les dĂ©chets dans des conteneurs appropriĂ©s ou sur des surfaces impermĂ©ables. Les dĂ©chets dangereux sont stockĂ©s dans une zone de rĂ©tention dĂ©diĂ©e Ă  l'abri des SurveillancePour la surveillance, l'exploitant utilise des mĂ©thodes d'analyse lui permettant de rĂ©aliser des mesures fiables, rĂ©pĂ©tables et reproductibles. Les normes mentionnĂ©es sont rĂ©putĂ©es permettre l'obtention de donnĂ©es d'une qualitĂ© scientifique mention contraire, les mesures sont rĂ©alisĂ©es selon les mĂ©thodes prĂ©cisĂ©es dans l'avis sur les mĂ©thodes normalisĂ©es de rĂ©fĂ©rence pour les mesures dans l'air, l'eau et les sols dans les installations classĂ©es pour la protection de l'environnement publiĂ© au Journal Surveillance des rejets dans l'eauL'exploitant surveille les concentrations de polluants dans les eaux usĂ©es et les eaux de ruissellement susceptibles d'ĂȘtre significativement polluĂ©es avant chaque SANDREFrĂ©quence de surveillanceBiocides 1Normes EN disponibles en fonction de la composition des produits biocides-Avant chaque rejetCu 2Plusieurs normes EN1392Avant chaque rejetSolvants 3Normes EN disponibles pour certains solvants-Avant chaque rejetHAP 4NF EN ISO 179937088Avant chaque rejetBenzo[a]pyrĂšne 4NF EN ISO 179931115Avant chaque rejetIndice hydrocarbureNF EN ISO 9377-27007Avant chaque rejet1 Les substances qui font l'objet d'une surveillance sont dĂ©finies en fonction de la composition des produits biocides utilisĂ©s dans le procĂ©dĂ©.2 La surveillance ne s'applique que si des composĂ©s du cuivre sont utilisĂ©s dans le procĂ©dĂ©.3 La surveillance ne s'applique qu'aux unitĂ©s utilisant des produits chimiques de traitement Ă  base de solvants organiques. Les substances qui font l'objet d'une surveillance sont dĂ©finies en fonction des solvants utilisĂ©s dans le procĂ©dĂ©.4 La surveillance ne s'applique qu'aux unitĂ©s utilisant le traitement Ă  la Surveillance de la qualitĂ© des eaux souterrainesL'exploitant respecte les dispositions suivantes i. Trois forages, au moins, sont implantĂ©s sur le site dont un en amont hydraulique, les deux autres en aval Tous les six mois, au moins, des prĂ©lĂšvements sont effectuĂ©s dans la nappe et le niveau piĂ©zomĂ©trique de chaque puits est relevĂ©. La frĂ©quence de prĂ©lĂšvement entre les campagnes considĂšre les pĂ©riodes de hautes eaux et basses eaux et est adaptĂ©e en cas de constat d'une pollution. En cas d'absence d'impact sur plusieurs campagnes, une Ă©volution de la frĂ©quence de surveillance peut ĂȘtre fixĂ©e par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral, sans excĂ©der deux ans entre deux L'eau prĂ©levĂ©e fait l'objet de mesures des substances pertinentes susceptibles de caractĂ©riser une Ă©ventuelle pollution de la nappe compte tenu de l'activitĂ© de l'installation. Les rĂ©sultats de mesures sont tenus Ă  la disposition de l'inspection des installations classĂ©es. Toute anomalie lui est signalĂ©e dans les meilleurs dĂ©lais. Ces mesures comprennent, en plus des substances pertinentes mentionnĂ©es ci-dessus, au moins les Ă©lĂ©ments suivants Substance/paramĂštre 1NormeCode SANDREFrĂ©quence de surveillanceBiocides 2Des normes EN pourraient ĂȘtre disponibles en fonction de la composition des produits biocides-Une fois tous les 6 moisAsPlusieurs normes EN1369Une fois tous les 6 moisCu1392Une fois tous les 6 moisCr1389Une fois tous les 6 moisSolvants 3Normes EN disponibles pour certains solvants-Une fois tous les 6 moisHAPNF EN ISO 179937088Une fois tous les 6 moisBenzo[a]pyrĂšneNF EN ISO 179931115Une fois tous les 6 moisIndice hydrocarbureNF EN ISO 9377-27007Une fois tous les 6 mois1 La surveillance peut ne pas s'appliquer si la substance concernĂ©e n'est pas et n'a pas Ă©tĂ© utilisĂ©e dans le procĂ©dĂ© et s'il est dĂ©montrĂ© que les eaux souterraines ne sont pas contaminĂ©es par cette substance.2 Les substances qui font l'objet d'une surveillance sont dĂ©finies en fonction de la composition des produits biocides qui sont ou qui ont Ă©tĂ© utilisĂ©s dans le procĂ©dĂ©.3 La surveillance ne s'applique qu'aux unitĂ©s utilisant ou ayant utilisĂ© des produits chimiques de traitement Ă  base de solvants organiques. Les substances qui font l'objet d'une surveillance sont dĂ©finies en fonction des solvants utilisĂ©s ou ayant Ă©tĂ© utilisĂ©s dans le Surveillance des Ă©missions dans les gaz rĂ©siduaires rĂ©sultant des procĂ©dĂ©s de traitement Ă  base de crĂ©osote et/ou de produits chimiques Ă  base solvantĂ©eLes prescriptions de l'arrĂȘtĂ© du 13 dĂ©cembre 2019 susvisĂ© sont complĂ©ment, l'exploitant surveille les Ă©missions dans les gaz rĂ©siduaires au moins une fois par spĂ©cifiqueNormeFrĂ©quence de surveillanceCOVTPrĂ©servation du bois et des produits dĂ©rivĂ©s du bois au moyen de crĂ©osote et/ou de produits chimiques de traitement Ă  base de solvants organiquesNF EN 12619Une fois par anHAP 1PrĂ©servation du bois et des produits dĂ©rivĂ©s du bois au moyen de crĂ©osotePas de norme NF ENUne fois par anNOx 2PrĂ©servation du bois et des produits dĂ©rivĂ©s du bois au moyen de crĂ©osote et/ou de produits chimiques de traitement Ă  base de solvants organiquesNF EN 14792Une fois par anCO 2NF EN 15058Une fois par an1 Comprend les substances suivantes acĂ©naphtĂšne, acĂ©naphtylĂšne, anthracĂšne, benzoaanthracĂšne, benzoapyrĂšne, benzobfluoranthĂšne, benzog, h,iperylĂšne, benzokfluoranthĂšne, chrysĂšne, dibenzoa, hanthracĂšne, fluoranthĂšne, fluorĂšne, indĂ©no1,2,3-cdpyrĂšne, naphtalĂšne, phĂ©nanthrĂšne et pyrĂšne.2 La surveillance ne s'applique qu'aux Ă©missions rĂ©sultant du traitement thermique des effluents Emissions dans le sol et les eaux souterrainesL'exploitant applique toutes les techniques Ă©numĂ©rĂ©es ou protection de l'unitĂ© et des Ă©quipementsLes parties de l'unitĂ© oĂč sont entreposĂ©s ou manipulĂ©s les produits chimiques de traitement, Ă  savoir les zones de stockage des produits chimiques, les zones de traitement, de conditionnement post-traitement et de stockage provisoire comprenant les cuves de traitement, les rĂ©cipients de traitement, les portiques de dĂ©chargement/d'extraction, la zone d'Ă©gouttage/sĂ©chage, la zone de refroidissement, les conduites et canalisations acheminant les produits chimiques de traitement, ainsi que les installations de conditionnement ou de reconditionnement de la crĂ©osote sont protĂ©gĂ©es par une paroi. Les Ă©quipements de confinement ou de protection par exemple, enceinte de confinement, paroi de protection sont revĂȘtus de surfaces impermĂ©ables et sont rĂ©sistants aux produits chimiques de traitement, et dĂ©limitent des espaces de capacitĂ© suffisante pour capter et contenir les volumes traitĂ©s ou entreposĂ©s dans l'unitĂ©/les bacs de rĂ©cupĂ©ration constituĂ©s d'un matĂ©riau rĂ©sistant aux produits chimiques de traitement peuvent Ă©galement servir Ă  contenir localement les produits chimiques de traitement s'Ă©gouttant ou s'Ă©chappant des Ă©quipements ou des procĂ©dĂ©s critiques c'est-Ă -dire les vannes, les orifices d'entrĂ©e/sortie des cuves de stockage, les cuves de traitement, les rĂ©servoirs doseurs, les zones de dĂ©chargement/d'extraction, la zone de manutention du bois fraĂźchement traitĂ©, la zone de refroidissement/sĂ©chage.Les liquides prĂ©sents Ă  l'intĂ©rieur des zones de rĂ©tention et dans les bacs de rĂ©cupĂ©ration sont recueillis afin de rĂ©cupĂ©rer les produits chimiques de traitement en vue de leur rĂ©utilisation aprĂšs traitement. Les boues qui se forment dans le systĂšme de collecte ou en point bas sont Ă©liminĂ©es en tant que dĂ©chets impermĂ©ablesLes sols des zones qui ne sont pas sur rĂ©tention et qui sont exposĂ©es Ă  de possibles coulures, dĂ©versements, rejets accidentels ou lixiviation des produits chimiques de traitement sont impermĂ©ables aux substances concernĂ©es par exemple, le bois traitĂ© est entreposĂ© sur des sols impermĂ©ables lorsque cela est exigĂ© par l'autorisation dĂ©livrĂ©e, en vertu du RPB, pour le produit de prĂ©servation du bois utilisĂ©. Les liquides rĂ©pandus sur les sols sont recueillis afin de rĂ©cupĂ©rer les produits chimiques de traitement en vue de leur rĂ©utilisation aprĂšs traitement des produits chimiques. Les boues qui se forment dans le systĂšme de collecte ou en point bas sont Ă©liminĂ©es en tant que dĂ©chets d'alarme pour les Ă©quipements considĂ©rĂ©s comme critiques »Les Ă©quipements critiques » [cf. point 3] sont munis de systĂšmes d'alarme signalant les dĂ©fauts de et dĂ©tection des fuites de substances nocives/dangereuses, provenant des rĂ©servoirs de stockage enterrĂ©s et des canalisations enterrĂ©es et tenue de registresLe recours Ă  des Ă©lĂ©ments enterrĂ©s est rĂ©duit au minimum. En cas de stockage enterrĂ© de substances nocives/dangereuses, un confinement secondaire est mis en place par exemple, une enceinte de confinement Ă  double paroi. Les Ă©quipements enterrĂ©s sont dotĂ©s de dispositifs de dĂ©tection des canalisations et installations de stockage souterrains font l'objet d'un contrĂŽle rĂ©gulier, fondĂ© sur les risques, en vue de dĂ©tecter les fuites Ă©ventuelles ; le cas Ă©chĂ©ant, les Ă©quipements prĂ©sentant des fuites sont rĂ©parĂ©s. Les incidents susceptibles d'entraĂźner une pollution du sol et/ou des eaux souterraines sont consignĂ©s dans un et entretien pĂ©riodiques de l'unitĂ© et des Ă©quipementsL'unitĂ© et les Ă©quipements sont rĂ©guliĂšrement inspectĂ©s et entretenus de maniĂšre Ă  en garantir le bon fonctionnement ; il s'agit notamment de vĂ©rifier l'intĂ©gritĂ© et/ou l'Ă©tanchĂ©itĂ© des soupapes, des pompes, des conduites, des rĂ©servoirs, des rĂ©cipients sous pression, des bacs de rĂ©cupĂ©ration et des enceintes de confinement/murets de protection, ainsi que le bon fonctionnement des systĂšmes d' de prĂ©vention des contaminations croisĂ©esLa contamination croisĂ©e c'est-Ă -dire la contamination de zones de l'unitĂ© qui ne sont gĂ©nĂ©ralement pas en contact avec les produits chimiques de traitement est Ă©vitĂ©e par le recours Ă  des techniques appropriĂ©es telles que - La conception de bacs de rĂ©cupĂ©ration afin que leurs surfaces potentiellement contaminĂ©es n'entrent pas en contact avec les chariots Ă©lĂ©vateurs ;- La conception d'Ă©quipements de dĂ©chargement pour extraire le bois traitĂ© de la cuve de traitement Ă©vitant l'entraĂźnement de produits chimiques de traitement ;- L'utilisation de systĂšmes de levage pour la manutention du bois traitĂ© ;- L'utilisation de vĂ©hicules de transport dĂ©diĂ©s aux zones potentiellement contaminĂ©es ;- Un accĂšs restreint aux zones potentiellement contaminĂ©es ;- L'utilisation d'allĂ©es piĂ©tonnes en Rejets dans l'eau et gestion des eaux Approche gĂ©nĂ©raleL'exploitant applique toutes les techniques Ă©numĂ©rĂ©es visant Ă  Ă©viter la contamination des eaux de pluie et des eaux de ruissellementLes eaux de pluie et les eaux de ruissellement de surface sont tenues Ă  l'Ă©cart des zones oĂč sont entreposĂ©s ou manipulĂ©s les produits chimiques de traitement et des zones oĂč du bois fraĂźchement traitĂ© est entreposĂ©, ainsi que des eaux contaminĂ©es. À cet effet, les techniques suivantes, au moins, sont appliquĂ©es - Canaux de drainage et/ou bordure de protection extĂ©rieure autour de l'unitĂ© ;- Couverture, au moyen de toiture avec gouttiĂšres, des zones oĂč les produits chimiques de traitement sont stockĂ©s ou manipulĂ©s c'est-Ă -dire la zone de stockage des produits chimiques de traitement, les zones de traitement, de conditionnement post-traitement et de stockage provisoire ; les conduites et canalisations de produits chimiques de traitement, les installations de reconditionnement de la crĂ©osote ;- Protection contre les intempĂ©ries par exemple, toiture, bĂąches des zones d'entreposage du bois si l'autorisation dĂ©livrĂ©e en vertu du RPB l'exige pour le produit de prĂ©servation du bois ce qui concerne les unitĂ©s existantes, l'applicabilitĂ© des canaux de drainage et d'une bordure de protection extĂ©rieure peut ĂȘtre limitĂ©e par la superficie de l' des eaux de ruissellement potentiellement contaminĂ©esLes eaux de ruissellement provenant de zones potentiellement contaminĂ©es par les produits chimiques de traitement sont collectĂ©es sĂ©parĂ©ment. Ces eaux usĂ©es collectĂ©es ne sont rejetĂ©es qu'aprĂšs application des mesures appropriĂ©es, par exemple, en matiĂšre de surveillance [cf. point de traitement [cf. technique e], de rĂ©utilisation [cf. technique c].Applicable d'une maniĂšre des eaux de ruissellement potentiellement contaminĂ©esLes eaux de ruissellement potentiellement contaminĂ©es qui ont Ă©tĂ© collectĂ©es sont utilisĂ©es pour la prĂ©paration des solutions de prĂ©servation du bois Ă  base applicable aux unitĂ©s utilisant des produits chimiques de traitement Ă  base aqueuse. L'applicabilitĂ© peut ĂȘtre limitĂ©e par les exigences de qualitĂ© requises pour l'utilisation des eaux de nettoyageL'eau utilisĂ©e pour laver les Ă©quipements et les rĂ©cipients est rĂ©cupĂ©rĂ©e et rĂ©utilisĂ©e pour la prĂ©paration des solutions de prĂ©servation du bois Ă  base applicable aux unitĂ©s utilisant des produits chimiques de traitement Ă  base des eaux usĂ©esLorsqu'une contamination des eaux de ruissellement et/ou des eaux de nettoyage collectĂ©es a Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©e ou est probable et que ces eaux ne sont pas utilisables, elles sont traitĂ©es dans une station appropriĂ©e de traitement des eaux usĂ©es sur place ou hors site.Applicable d'une maniĂšre en tant que dĂ©chets dangereuxLorsqu'une contamination des eaux de ruissellement et/ou des eaux de nettoyage collectĂ©es a Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©e ou est probable et que le traitement ou l'utilisation de ces eaux n'est pas faisable, ces derniĂšres sont Ă©liminĂ©es en tant que dĂ©chets d'une maniĂšre Approche complĂ©mentaire pour les procĂ©dĂ©s rĂ©alisĂ©s sous pression utilisant la crĂ©osotePour les procĂ©dĂ©s rĂ©alisĂ©s sous pression autoclaves, l'exploitant recueille les condensats issus de la dĂ©pressurisation et du fonctionnement sous vide de l'autoclave ainsi que du conditionnement ou du reconditionnement de la crĂ©osote. L'exploitant les traite sur place, aprĂšs dĂ©cantation au moyen d'un filtre Ă  charbon actif ou d'un filtre Ă  sable, ou les Ă©limine en tant que dĂ©chets dangereux. L'eau traitĂ©e est soit rĂ©utilisĂ©e circuit fermĂ©, soit rejetĂ©e dans le rĂ©seau public d' Emissions dans l'air rĂ©sultant de la prĂ©servation du bois et des produits dĂ©rivĂ©s du bois au moyen de crĂ©osote et/ou de produits chimiques Ă  base solvantĂ©eL'exploitant confine les Ă©quipements ou les procĂ©dĂ©s Ă©metteurs, extrait les effluents gazeux et les dirige vers un systĂšme de prescriptions de l'arrĂȘtĂ© du 13 dĂ©cembre 2019 susvisĂ© sont complĂ©ment, l'exploitant respecte les VLE Gaz rĂ©siduairesL'exploitant respecte les VLE Ă  la crĂ©osote et/ou traitement par produits chimiques Ă  base de solvants organiques20 mgC/Nm3HAP 1Traitement Ă  la crĂ©osote < 1 mg/Nm31 La VLE se rapporte Ă  l'ensemble des composĂ©s suivants acĂ©naphtĂšne, acĂ©naphtylĂšne, anthracĂšne, benzoaanthracĂšne, benzoapyrĂšne, benzobfluoranthĂšne, benzog, h,iperylĂšne, benzokfluoranthĂšne, chrysĂšne, dibenzoa, hanthracĂšne, fluoranthĂšne, fluorĂšne, indĂ©no1,2,3-cdpyrĂšne, naphtalĂšne, phĂ©nanthrĂšne et Traitement thermique des effluents gazeuxL'exploitant respecte les VLE mg/Nm3CO100 mg/Nm3CH450 mg/Nm315. BruitL'exploitant applique une ou plusieurs des techniques indiquĂ©es liĂ©es au stockage et Ă  la manutention des matiĂšres premiĂšresaInstallation de murs antibruit et exploitation/optimisation de l'effet d'absorption acoustique des bĂątimentsbConfinement ou confinement partiel des opĂ©rations bruyantescUtilisation de vĂ©hicules ou de systĂšmes de transport peu bruyantsdMesures de gestion du bruitTechnique liĂ©e au sĂ©chage au foureMesures de rĂ©duction du bruit pour les ventilateursL'applicabilitĂ© de ces techniques est limitĂ©e aux cas oĂč des nuisances sonores dans une zone sensible sont probables ou avĂ©rĂ©es.
LĂ©tude technique d’un projet de construction inclut plusieurs Ă©tudes scientifiques et gĂ©otechniques qu’on doit prendre en compte. Dans le cadre d’un projet de construction, en voici les principales : L’étude gĂ©otechnique des sols qui sert Ă  connaĂźtre la nature du sol, du sous-sol ainsi que la hauteur de la nappe phrĂ©atique.
Auteurs JĂ©rĂ©my CICERO Consultant, formateur, auditeur ICA, Qualipole Languedoc-Roussillon Vous devez qualifier un nouveau processus ou un nouveau produit, et souhaitez identifier les risques de dĂ©rive, de non-maĂźtrise. L’AMDEC, analyse des modes de dĂ©faillance, de leurs effets et de leur criticitĂ©, est un outil d’analyse performant qui permet de recenser de maniĂšre exhaustive les risques de dĂ©rive d’un processus, d’un produit ou d’un moyen de production. L’AMDEC s’inscrit dans la logique de maĂźtrise des risques ; sa finalitĂ© est de mettre en place des plans d’actions prĂ©ventives visant Ă  Ă©liminer ou rĂ©duire les risques liĂ©s Ă  la sĂ©curitĂ© de l’utilisateur, Ă  la non-qualitĂ©, Ă  la perte de productivitĂ©, Ă  l’insatisfaction des clients. Cette fiche vous explique Ă©tape par Ă©tape la marche Ă  suivre pour mener une analyse AMDEC. Étapes 1 - Comprendre les enjeux de l’AMDEC 2 - Identifier les facteurs de succĂšs de la dĂ©marche AMDEC 3 - Mettre en Ɠuvre l’analyse AMDEC Documents types - modĂšles Grille d’analyse AMDEC Processus La grille d’analyse AMDEC permet Ă  la fois de consigner les rĂ©sultats de l’analyse et de servir de support durant le travail de groupe. DÉTAIL DE L'ABONNEMENT TOUS LES ARTICLES DE VOTRE RESSOURCE DOCUMENTAIRE AccĂšs aux Articles et leurs mises Ă  jour NouveautĂ©s Archives Articles interactifs Formats HTML illimitĂ© Versions PDF Site responsive mobile Info parution Toutes les nouveautĂ©s de vos ressources documentaires par email DES ARTICLES INTERACTIFS Articles enrichis de quiz ExpĂ©rience de lecture amĂ©liorĂ©e Quiz attractifs, stimulants et variĂ©s ComprĂ©hension et ancrage mĂ©moriel assurĂ©s DES SERVICES ET OUTILS PRATIQUES Votre site est 100% responsive, compatible PC, mobiles et tablettes. FORMULES Formule monoposte Autres formules Ressources documentaires Consultation HTML des articles IllimitĂ©e IllimitĂ©e Quiz d'entraĂźnement IllimitĂ©s IllimitĂ©s TĂ©lĂ©chargement des versions PDF 5 / jour Selon devis AccĂšs aux archives Oui Oui Info parution Oui Oui Services inclus Questions aux experts 1 4 / an Jusqu'Ă  12 par an Articles DĂ©couverte 5 / an Jusqu'Ă  7 par an Dictionnaire technique multilingue Oui Oui 1 Non disponible pour les lycĂ©es, les Ă©tablissements d’enseignement supĂ©rieur et autres organismes de formation. Formule 12 mois monoposte 1 290 € HT Autres formules Multiposte, pluriannuelle DEMANDER UN DEVIS
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